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D'étranges relativités

Publié le 01 juin 2021 par Feydharkonnen

Bonjour,
Après observation des différents "théorêmes" de la physique, l'on s'aperçoit que dans l'ensemble, ils traitent de relativité.
1. Par exemple, prenons le principe de Bernouilli: il parle de "charge", c'est-à-dire de pression constante mais diversifiée en
fonction d'un même milieu considéré comme constant"..
Je viens d'utiliser le terme "en fonction", mais j'aurais pu écrire: "relativement à un même milieu.." .
Pour ce qui suit, il me faut rappeler que la charge s'exprime en unités dimensionnelles de m²/sec².
2. Prenons aussi le plus vieil exemple "relatif" au monde: le principe d'Archimède, très intéressant parce qu'il peut non seulement
se décliner en "poids de volume", et aussi en terme de charge.
Voici sa définition, quelque peu remaniée avec l'image d'un bateau, pour aller plus vite: "Un bateau que l'on fait descendre
dans l'eau pour la première fois, attire contre ses parois l'opposition de la pression (c-à-dire de la charge) qui règne à tous les niveaux
de la profondeur où il descend (ben oui), jusqu'à ce que cette pression corresponde au poids du volume d'eau déplacé "par et contre"
ces mêmes parois. Ici, la relativité s'effectue en fonction du milieu "flotteur" et de sa constante de pression à chaque niveau.
3. Tout cela nous amène à la relativité de Lorentz. Mais avant d'aller plus loin, vous aurez remarqué que les exemples précédents font
intervenir un élément exhaustif qui est sensé changer le milieu, mais qui ne le fait pas.. tout au moins sur le long terme. Dans Bernoulli,
la pression changée par exemple dans le domaine de la gravité g.h va être compensée par un changement inverse pour P ou v²/2.
Voyons maintenant la charge c² qu'utlise Lorentz pour fabriquer son facteur de dilatation du temps.
Le facteur de Lorentz est la racine d'une différence entre la charge cosmique du carré de la vitesse de la lumière et celle du carré de la vitesse
d'un véhicule, relativement.. à cette charge cosmique (c²-v²)/c². En reprenant le principe d'Archimède, c'est comme si on admet
finalement et à juste titre qu'un bateau "fait avec de l'eau" venait interférer avec un milieu "fait avec de l'eau" !
Reprenons justement l'exemple interférant du bateau: "Un bateau que l'on fait descendre pour la première fois.." signifie par ailleurs
chez Lorentz que pour qu'une fluctuation ( - v²) existe, il a fallu que quelque chose interfère avec c² .. pour créer cette fluctuation c² - v².
Or selon le principe d'équivalence, qui dit bêtement que ce que l'on retire d'un côté, il faut le mettre autre part, nous DEVONS trouver
un endroit où l'on retrouve la valeur nette et positive ( + v²) de la charge déplacée.
Où se trouve cette charge c² + v² .. ?
En fait, elle ne peut que se trouver extrêmement près de c², dans une oscillation permanente dans le temps (mais quel temps ?) autour de cette valeur de pression ou charge
ou densité d'énergie du vide, appellons cela n'importe comment, oscillation "au-dessus et au-dessous".
Mais quel appareil peut percevoir et utiliser les "moments positifs" de la fuctuation, et donc la charge + v² qui s'y retrouve ?


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