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Les joueurs de tennis les plus détestés du circuit ATP

Publié le 30 juillet 2008 par Kornioteam
Tennis Ball par David H-W (Extrajection)

Crédit photo: David Hawkins-Weeks/Flickr

On n'en parle quasiment jamais, par "respect" diront certains ou plutôt par pratique du politiquement correct, mais le circuit de tennis masculin n'est pas uniquement peuplé de gentlemen à la James Blake, Tim Henman, Alex Corretja ou Carlos Moya. Il y a aussi de beaux enfoirés. L'équipe tennisonline a voulu faire le tour pour vous des joueurs les moins appréciés par leurs pairs.
Il y a peu, Marcelo Rios était le grand méchant loup du circuit tennistique (Voir article du Canard sur le terrible gaucher) . Récemment, Mike Bryan confiait que le Chilien ne disait jamais bonjours à quiconque. On se souvient aussi de son indifférence devant la blessure de Wayne Ferreira à Roland Garros. La liste de ses faits et gestes est longue... On ne retrouvera sans doute jamais un aussi beau spécimen que Marcelo Rios, mais certains joueurs essaient de reprendre le flambeau.

Robin Soderling, le métronome suédois, est sans doute aujourd'hui l'un des joueurs les plus détestés du circuit. En 2007, à l'entame de cinquième set contre Rafael Nadal, Soderling n'a pas trouvé mieux que de mimer de manière grostesque la façon de l'espagnol de remettre son sous-vêtement en place avant chaque service. A ce propos, le suédois n'est pas le seul à s'agacer des TOC de Nadal ou de son temps très limite à servir. Roger Federer est régulièrement venu attaquer l'espagnol sur son petit manège avant de servir. Paul-Henri Mathieu s'est lui aussi montré agacé en conférence de presse sur le "cirque" de Nadal à l'échauffement dans les vestiaires. Même son de cloche chez Tsonga à l'Open d'Australie quand il a déclaré "quand on le voit faire son truc, on a presque envie qu'il tombe et se blesse...". Mais revenons à notre "ami" Soderling : à Wimbledon, cette année, il s'est distingué en voulant allumer Roger Federer à bout portant alors que celui-ci était à la volée. Pas un regard, pas un mot d'excuse. Ses attitudes avec le public sont très limites et dans les coulisses, ce n'est un secret pour personne : le suédois est loin d'être apprécié par tout le monde.
Les joueurs tchèques semblent également tenir le bon bout dans le domaine. Tomas Berdych et Radek Stepanek se situent dans la droite lignée de leur prédécesseur Ivan Lendl, qui prenait un malin plaisir à allumer ses adversaires lors de l'échauffement à la volée.
Tomas Berdych s'est maintenant distingué à plusieurs reprises pour son manque de fair-play évident. En 2006, à Wimbledon, il singe la technique de Fabrice Santoro de manière ridicule... N'empêche, ce jour là, ce petit frimeur a failli se faire éliminer par Fabulous Fab. En 2008, à Roland Garros, le tchèque s'est attiré les foudres de Mickaël Llodra après sa défaite en 5 manches. Le tchèque a justifié lors de la poignée de main au français sa défaite par une annonce qui lui était soi-disant défavorable par le juge de ligne. Pourtant, l'arbitre était descendu de sa chaise, avait confirmé la marque : à la télé, le hawk-eye confirmait la décision de l'arbitre.
Quant à son compère Stepanek, c'est plus son attitude hors des terrains qui gênent : tout d'abord, il a le tort d'être, malgré les apparences, l'un des favoris de ces dames (Stepanek a sans doute l'un des plus beaux palmarès du circuit en la matière, avec Martina Hingis en ex-fiancée et Nicole Vaidisova actuellement). Ensuite, beaucoup de joueurs lui reprochent de se tenir à l'écart et de ne pas se mélanger.
L'ensemble de la clique argentine (Coria, Gaudio, Nalbandian, Chela, Calleri, Canas...) n'est guère apprécié également. Les affaires de dopage récurrentes des gauchos (Coria, Chela, Puerta, Canas et d'autres) ainsi que leur tendance à ne jamais se mélanger n'arrangent pas leur réputation. L'histoire du crachat de Chela en direction d'Hewitt (pour lequel il paya une amende) n'a pas contribué à calmer les histoires. En son temps, Coria était le contre-exemple du joueur à copier l'attitude : tentative de triche permanente, de déstabilisation des adversaires : même André Agassi avait refusé de lui serrer la main.
Autre sud-américain dans le collimateur : Paul Capdeville. Le très limité chilien, qu'on ne voit quasiment jamais (et tant mieux) a l'air d'en tenir une couche selon Jérémy Chardy qui a récemment avoué "qu'avec lui, il y a toujours des embrouilles".
En vrac, pour terminer, deux joueurs qui ont pu poser quelques problèmes : Almagro (qui avait explosé de joie au moment de la blessure de Safin à Valence en 2005) et Vince Spadea, toujours prêt à embrouiller les matchs.


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LES COMMENTAIRES (3)

Par Hebi
posté le 09 juin à 15:29
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On peux quand même rajouter quelque français à cette liste de pourri (même si le fait de ne pas se melangé ne présente pas un motif de grief... bizarre la tournure qu'a pris cet article) Llodra et Clément qui sont de véritable connards avec les ramasseurs de balles.

Par j'aime le tennis
posté le 16 octobre à 14:49
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tout les joueurs sont magnifique,mais Nadal est un joueur spécial c'est mon joueur préferé je l'aime beaucoup vraiment il mirite d'etre le matador espagniol "VAMOS RAFA"

Par lamita
posté le 24 novembre à 22:30
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les cons ( federer, tsonga et paul henri mathieu ) qu'ils aillent tous se faire foutre et vamos rafa t'es le meilleur