Le Times s’est engagé à passer en revue les sorties de films en salles au cours de la Pandémie de covid-19. Parce que le cinéma comporte des risques pendant cette période, nous rappelons aux lecteurs de suivre les consignes de santé et de sécurité comme décrit par les Centers for Disease Control and Prevention et responsables locaux de la santé.
Il y a une tentation quand on discute de personnalités culturellement importantes et exaltées comme le poète, le dramaturge et l’activiste Amiri Baraka parler avec un air d’adoration sans entraves – pour aller au-delà de l’humanité et plutôt vers l’idolâtrie. Avec « Pourquoi sommes-nous américains ? » le long métrage documentaire des co-réalisateurs Udi Aloni et Ayana Morrisles cinéastes semblent conscients de ce piège moral et passent plutôt leur temps à dresser un portrait intime et interconnecté de Baraka et de ses descendants, dont actuel Newark, N, J., maire Ras Baraka.
Surtout, l’artiste n’est qu’un point d’entrée pour l’accent mis par le film sur la famille Baraka dans son ensemble et son impact individuel au sein des communautés de Newark. Cette reconnaissance du travail à la fois partagé et transmis par leur lignée familiale est la bienvenue et centre les femmes Baraka. En cela, la matriarche Amina Baraka forme le centre émotionnel, tenant chacun des fils narratifs du film aux côtés de sa propre expérience d’une manière qui fait écho à son rôle de soutien et essentiel dans sa communauté et sa famille au fil des ans.
« Pourquoi sommes-nous américains ? » a du mal à trouver sa position sûre dans les décennies d’histoire de la famille Baraka et dépend trop des apparitions du producteur exécutif Lauryn Colline, qui se sentent gratuits. À bien des égards, un méli-mélo de séquences tempérées par un montage aléatoire et souvent frénétique, ce sont les mots d’Amina qui nous fondent avec une conscience et une intention qui manquent au film lui-même.
Tout comme il est rafraîchissant de couvrir l’étendue du clan Baraka, les corrections d’Amina à ses croyances et politiques antérieures sont également les bienvenues, ainsi que les critiques de plusieurs facettes du nationalisme noir et du Black Power Movement tel qu’elle l’a vécu. Si le film de Morris et Aloni est flou et faible dans sa structure et sa construction, c’est également un témoignage important d’une histoire vivante qui refuse de se mythifier.
« Pourquoi sommes-nous américains ? »
Non classé
Durée de fonctionnement : 1 heure 42 minutes
En jouant: Commence le 4 février, Laemmle Glendale
Le Times s’est engagé à passer en revue les sorties de films en salles au cours de la Pandémie de covid-19. Parce que le cinéma comporte des risques pendant cette période, nous rappelons aux lecteurs de suivre les consignes de santé et de sécurité comme décrit par les Centers for Disease Control and Prevention et responsables locaux de la santé.
Il y a une tentation quand on discute de personnalités culturellement importantes et exaltées comme le poète, le dramaturge et l’activiste Amiri Baraka parler avec un air d’adoration sans entraves – pour aller au-delà de l’humanité et plutôt vers l’idolâtrie. Avec « Pourquoi sommes-nous américains ? » le long métrage documentaire des co-réalisateurs Udi Aloni et Ayana Morrisles cinéastes semblent conscients de ce piège moral et passent plutôt leur temps à dresser un portrait intime et interconnecté de Baraka et de ses descendants, dont actuel Newark, N, J., maire Ras Baraka.
Surtout, l’artiste n’est qu’un point d’entrée pour l’accent mis par le film sur la famille Baraka dans son ensemble et son impact individuel au sein des communautés de Newark. Cette reconnaissance du travail à la fois partagé et transmis par leur lignée familiale est la bienvenue et centre les femmes Baraka. En cela, la matriarche Amina Baraka forme le centre émotionnel, tenant chacun des fils narratifs du film aux côtés de sa propre expérience d’une manière qui fait écho à son rôle de soutien et essentiel dans sa communauté et sa famille au fil des ans.
« Pourquoi sommes-nous américains ? » a du mal à trouver sa position sûre dans les décennies d’histoire de la famille Baraka et dépend trop des apparitions du producteur exécutif Lauryn Colline, qui se sentent gratuits. À bien des égards, un méli-mélo de séquences tempérées par un montage aléatoire et souvent frénétique, ce sont les mots d’Amina qui nous fondent avec une conscience et une intention qui manquent au film lui-même.
Tout comme il est rafraîchissant de couvrir l’étendue du clan Baraka, les corrections d’Amina à ses croyances et politiques antérieures sont également les bienvenues, ainsi que les critiques de plusieurs facettes du nationalisme noir et du Black Power Movement tel qu’elle l’a vécu. Si le film de Morris et Aloni est flou et faible dans sa structure et sa construction, c’est également un témoignage important d’une histoire vivante qui refuse de se mythifier.
« Pourquoi sommes-nous américains ? »
Non classé
Durée de fonctionnement : 1 heure 42 minutes
En jouant: Commence le 4 février, Laemmle Glendale
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