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Les légendes de la danse des années 90, les Utah Saints, sur la création d’une nouvelle musique pour “Final Vendetta”

Publié le 13 juin 2022 par Mycamer

Hé! Ecoutez est une chronique bimensuelle dénichant de la musique et des anecdotes obscures sur les jeux vidéo. La chronique d’aujourd’hui parle du duo de danse des années 90, les Utah Saints, sur leur nouvelle musique pour Final Vendetta.

HComment créez-vous l’hommage parfait aux beat’em ups de la vieille école tels que Combat final et Rues de la rage? Cela aide si le studio qui le gère, dans ce cas, Bitmap Bureau, vit et respire les jeux rétro et a une solide expérience en matière de livraison de beat’em ups de qualité inspirés des arcades. Mais vous avez également besoin d’une bande-son percutante, à la hauteur de l’héritage des airs de danse qui Rues de la rage les compositeurs Yuzo Koshiro et Motohiro Kawashima pompaient à travers le Sega Mega Drive.

Ce n’est pas une tâche facile. Koshiro et Kawashima ont parfaitement imité le son de la culture club des années 90 avec leurs hommages 16 bits à des hymnes comme Black Box et Inner City. La musique dans Rues de la rage est en grande partie responsable du statut culte de la série non seulement parmi les fans de musique de jeux vidéo, mais aussi parmi les musiciens et producteurs modernes tels que Lotus volant et Juste Blaze ça a inspiré. Il est juste que les fans jugent tout équivalent moderne de Rues de la rage sur la qualité de sa musique.

Bitmap Bureau le sait, bien sûr, et c’est pourquoi la musique de leur dernier jeu, Vendetta finale, est entre de si bonnes mains. En plus de nombreuses pauses funky du compositeur du jeu, Featurecast, Vendetta finale présente quatre titres exclusifs des Utah Saints, les têtes de liste des années 90. NME discuté avec le duo de danse, Tim Garbutt et Jez Willis, pour en savoir plus, mais nous avons aussi pu écouter ‘No Turning Back’, un titre NME peut révéler exclusivement pour le jeu.

“Nous avons connu Lee [Featurecast] pendant assez longtemps, et il a toujours été dans ses jeux vidéo », explique Garbutt. “Il a déjà travaillé avec Bitmap Bureau et nous a demandé si nous voulions être impliqués dans ce projet, et nous sommes toujours prêts à faire de nouvelles choses sympas, surtout compte tenu du style du jeu.”

“La façon dont il a été présenté était que nous faisions ce jeu, et c’est dans le style de Rues de la rage, probablement la bande-son la plus emblématique en raison de la façon dont elle est très bien ancrée dans la culture des clubs à l’époque », ajoute Willis. «Beaucoup de gens rentraient tout juste de sortir, relativement ivres, et jouaient à des jeux vidéo. Nous avons vu les visuels et avons pensé qu’il avait l’air génial. J’espère que cela gardera un pied dans la nostalgie des choses et un pied dans le futur, tout comme notre musique, donc c’est un bon choix.

C’est la première nouvelle musique que Garbutt et Willis sortent depuis plus d’une décennie, alors est-ce que ça fait bizarre de le faire à travers un jeu vidéo ? Pas du tout. Les Utah Saints ne sont pas étrangers aux avantages de placer votre musique dans un jeu vidéo et ont été impliqués dans de nombreux projets de jeux vidéo au fil des ans, de FIFA et Effacer la fusion à Carmageddon et le jeu de rythme expérimental, Ruban Vib.

« La bonne chose à propos Vendetta finale C’est le premier projet où nous avons été vraiment actifs au début du jeu, alors que tous les autres jeux nous ont soumis des pistes que nous avons déjà terminées », poursuit Garbutt. « Lee nous a donné des informations sur les niveaux car nous ne pouvions pas jouer au jeu à ce stade ; nous avons juste eu des clips vidéo et des photos de tout. Nous avons compris que la musique avait besoin de ce son de production moderne qui rappelait le style des années 90 Rues de la rage.

Saints de l'Utah
Crédit : Saints de l’Utah

« Si vous écoutez la musique dans Rues de la rage, beaucoup de morceaux étaient des hommages à la musique qui existait à l’époque. Alors on a juste essayé d’écrire de la musique qui ressemblait à nous dans les années 90 !

En tant que rois croisés de l’échantillonnage, les Utah Saints se sont fait un nom en mélangeant des genres dont vous n’auriez jamais imaginé qu’ils fonctionneraient bien ensemble. Leur méga tube de 1992, ‘Quelque chose de bien’ échantillons Kate Bushtandis que ‘Je te veux’ sample ‘War Ensemble’ des titans du thrash Tueur. Et dans les rares cas où ces mashups de genre étaient considérés comme trop sauvages pour tenir sur un album, ils ont plutôt trouvé leur place dans les jeux vidéo, comme l’explique Willis.

« Pour notre deuxième album, nous travaillions sur ce morceau, ‘Les mains en l’air’qui a échantillonné Nick Cave,” il dit. «Nous écoutions un DJ appelé Lostgroover qui combinait du gabber complet avec du speed metal et il y avait tellement d’énergie. Nous avons donc obtenu cet échantillon de Nick Cave de son groupe précédent, The Birthday Party, mis cela, et il avait juste cette ambiance “mains en l’air qui veut mourir”.

« Nous n’avions aucune idée de ce qu’il fallait faire de ce morceau et la maison de disques de l’époque n’avait vraiment pas envie de le mettre sur l’album. Ils ont dit que c’était très intense et que vous confondiez suffisamment les choses comme ça, mais ensuite ils ont trouvé une maison pour ça dans Carmageddon TDR 2000!”

Vendetta finale
Vendetta finale. Crédit : Bitmap Bureau

Willis a également des souvenirs affectueux mais franchement déroutants de l’époque où Phillips les a approchés pour créer un jeu pour le CD-i au début des années 90.

“Je me souviens encore de cette réunion parce que nous y sommes allés en tant que musiciens et qu’ils étaient là en tant qu’hommes d’affaires”, explique Willis. “Tim et moi nous sommes retrouvés autour de cette immense table avec six ou sept autres personnes de Phillips et avons été interrogés sur l’avenir du jeu.”

Willis se souvient que l’équipe a collectivement perdu la tête lorsqu’il a lancé l’idée que les jeux devraient avoir un capteur électronique qui va sur votre langue pour stimuler votre sens du goût et de l’odorat, comme un « chewing-gum électronique ».

“Cette petite chose a changé toute la réunion”, dit-il. “Nous avons obtenu de l’argent pour le développement du CD-i et avons fini par travailler avec notre ami Dan Buzzo pour créer ce jeu, mais le projet s’est effondré avec le CD-i.”

Heureusement, travailler sur la musique pour Vendetta finale a été une expérience plus réussie tout en offrant au duo une nouvelle façon rafraîchissante d’écrire de la musique.

“Les pistes sont directes”, déclare Garbutt. «Il n’y a pas d’introductions; ceux-ci sont juste dedans. Habituellement, quand nous écrivons une piste, il y aura une intro, une section de 16 mesures qui se superpose, puis vous pouvez créer une autre section qui va au-dessus. C’est bien aussi parce qu’avec un single ou un album, vous obtenez aussi longtemps que vous voulez l’écrire, ce qui peut parfois finir par vous prendre une éternité, alors qu’avec un jeu vidéo, c’est comme, ‘nous voulons ça d’ici mardi à 9 heures du matin.’

“Le côté perfectionniste de nous dirait” non, vous ne terminez jamais une piste, vous l’abandonnez simplement “, mais pour cela, c’était vraiment bien d’avoir ce cadre”, ajoute Willis. “En termes d’écriture de la musique, c’est plus ciblé, et avoir un délai vous aide simplement à réaliser qu’il n’y a absolument aucune place pour disparaître.”

Si vous êtes fan de la musique de Rues de la rageil est impossible d’échapper au fait que vous allez tomber amoureux de la musique pour laquelle Utah Saints et Featurecast ont écrit Vendetta finaleet je dis ça comme un inconditionnel Rues de la rage ventilateur. Pour les Utah Saints, il est normal que leur musique soit maintenant associée à un jeu de combat étant donné qu’ils ont écrit la musique du générique de fin du original Combat mortel film.

Les légendes de la danse des années 90, les Utah Saints, sur la création d’une nouvelle musique pour “Final Vendetta”
Crédit : Saints de l’Utah

En ce qui concerne la suite des Utah Saints, ils travaillent sur de nouvelles musiques et pensent qu’il reste beaucoup à donner. L’année prochaine marque le 30e anniversaire de leur premier album éponyme, donc la paire dit que vous pouvez vous attendre à entendre de nombreuses éditions et remixes uniques sur Spotify et d’autres plateformes.

“Il y a six ans, nous nous sommes assis pour analyser la musique que nous faisions et avons réalisé que nous faisions beaucoup de musique mélancolique, et nous pensions que c’était vraiment hors marque et pas ce que l’Utah devrait faire, alors nous nous sommes réévalués et la façon dont nous travaillons », dit Willis. « Parce que nous étions là au tout début et à cause de la façon dont la musique électronique est maintenant, nous pensons toujours que nous avons quelque chose à dire. Si nous ne pensions pas cela, nous ferions des choses différentes.

«Nous aimerions aussi jouer quelques matchs de plus. Nous avons vraiment apprécié Vendetta finale. C’est un jeu méchant et un projet méchant auquel participer, et artistiquement, c’est génial de ne pas avoir à trop réfléchir aux pistes.

Si vous avez apprécié cette plongée profonde dans le monde des bandes sonores de jeux, regarde le reste Hé! Ecoutez ici.



Hé! Ecoutez est une chronique bimensuelle dénichant de la musique et des anecdotes obscures sur les jeux vidéo. La chronique d’aujourd’hui parle du duo de danse des années 90, les Utah Saints, sur leur nouvelle musique pour Final Vendetta.

HComment créez-vous l’hommage parfait aux beat’em ups de la vieille école tels que Combat final et Rues de la rage? Cela aide si le studio qui le gère, dans ce cas, Bitmap Bureau, vit et respire les jeux rétro et a une solide expérience en matière de livraison de beat’em ups de qualité inspirés des arcades. Mais vous avez également besoin d’une bande-son percutante, à la hauteur de l’héritage des airs de danse qui Rues de la rage les compositeurs Yuzo Koshiro et Motohiro Kawashima pompaient à travers le Sega Mega Drive.

Ce n’est pas une tâche facile. Koshiro et Kawashima ont parfaitement imité le son de la culture club des années 90 avec leurs hommages 16 bits à des hymnes comme Black Box et Inner City. La musique dans Rues de la rage est en grande partie responsable du statut culte de la série non seulement parmi les fans de musique de jeux vidéo, mais aussi parmi les musiciens et producteurs modernes tels que Lotus volant et Juste Blaze ça a inspiré. Il est juste que les fans jugent tout équivalent moderne de Rues de la rage sur la qualité de sa musique.

Bitmap Bureau le sait, bien sûr, et c’est pourquoi la musique de leur dernier jeu, Vendetta finale, est entre de si bonnes mains. En plus de nombreuses pauses funky du compositeur du jeu, Featurecast, Vendetta finale présente quatre titres exclusifs des Utah Saints, les têtes de liste des années 90. NME discuté avec le duo de danse, Tim Garbutt et Jez Willis, pour en savoir plus, mais nous avons aussi pu écouter ‘No Turning Back’, un titre NME peut révéler exclusivement pour le jeu.

“Nous avons connu Lee [Featurecast] pendant assez longtemps, et il a toujours été dans ses jeux vidéo », explique Garbutt. “Il a déjà travaillé avec Bitmap Bureau et nous a demandé si nous voulions être impliqués dans ce projet, et nous sommes toujours prêts à faire de nouvelles choses sympas, surtout compte tenu du style du jeu.”

“La façon dont il a été présenté était que nous faisions ce jeu, et c’est dans le style de Rues de la rage, probablement la bande-son la plus emblématique en raison de la façon dont elle est très bien ancrée dans la culture des clubs à l’époque », ajoute Willis. «Beaucoup de gens rentraient tout juste de sortir, relativement ivres, et jouaient à des jeux vidéo. Nous avons vu les visuels et avons pensé qu’il avait l’air génial. J’espère que cela gardera un pied dans la nostalgie des choses et un pied dans le futur, tout comme notre musique, donc c’est un bon choix.

C’est la première nouvelle musique que Garbutt et Willis sortent depuis plus d’une décennie, alors est-ce que ça fait bizarre de le faire à travers un jeu vidéo ? Pas du tout. Les Utah Saints ne sont pas étrangers aux avantages de placer votre musique dans un jeu vidéo et ont été impliqués dans de nombreux projets de jeux vidéo au fil des ans, de FIFA et Effacer la fusion à Carmageddon et le jeu de rythme expérimental, Ruban Vib.

« La bonne chose à propos Vendetta finale C’est le premier projet où nous avons été vraiment actifs au début du jeu, alors que tous les autres jeux nous ont soumis des pistes que nous avons déjà terminées », poursuit Garbutt. « Lee nous a donné des informations sur les niveaux car nous ne pouvions pas jouer au jeu à ce stade ; nous avons juste eu des clips vidéo et des photos de tout. Nous avons compris que la musique avait besoin de ce son de production moderne qui rappelait le style des années 90 Rues de la rage.

Saints de l'Utah
Crédit : Saints de l’Utah

« Si vous écoutez la musique dans Rues de la rage, beaucoup de morceaux étaient des hommages à la musique qui existait à l’époque. Alors on a juste essayé d’écrire de la musique qui ressemblait à nous dans les années 90 !

En tant que rois croisés de l’échantillonnage, les Utah Saints se sont fait un nom en mélangeant des genres dont vous n’auriez jamais imaginé qu’ils fonctionneraient bien ensemble. Leur méga tube de 1992, ‘Quelque chose de bien’ échantillons Kate Bushtandis que ‘Je te veux’ sample ‘War Ensemble’ des titans du thrash Tueur. Et dans les rares cas où ces mashups de genre étaient considérés comme trop sauvages pour tenir sur un album, ils ont plutôt trouvé leur place dans les jeux vidéo, comme l’explique Willis.

« Pour notre deuxième album, nous travaillions sur ce morceau, ‘Les mains en l’air’qui a échantillonné Nick Cave,” il dit. «Nous écoutions un DJ appelé Lostgroover qui combinait du gabber complet avec du speed metal et il y avait tellement d’énergie. Nous avons donc obtenu cet échantillon de Nick Cave de son groupe précédent, The Birthday Party, mis cela, et il avait juste cette ambiance “mains en l’air qui veut mourir”.

« Nous n’avions aucune idée de ce qu’il fallait faire de ce morceau et la maison de disques de l’époque n’avait vraiment pas envie de le mettre sur l’album. Ils ont dit que c’était très intense et que vous confondiez suffisamment les choses comme ça, mais ensuite ils ont trouvé une maison pour ça dans Carmageddon TDR 2000!”

Vendetta finale
Vendetta finale. Crédit : Bitmap Bureau

Willis a également des souvenirs affectueux mais franchement déroutants de l’époque où Phillips les a approchés pour créer un jeu pour le CD-i au début des années 90.

“Je me souviens encore de cette réunion parce que nous y sommes allés en tant que musiciens et qu’ils étaient là en tant qu’hommes d’affaires”, explique Willis. “Tim et moi nous sommes retrouvés autour de cette immense table avec six ou sept autres personnes de Phillips et avons été interrogés sur l’avenir du jeu.”

Willis se souvient que l’équipe a collectivement perdu la tête lorsqu’il a lancé l’idée que les jeux devraient avoir un capteur électronique qui va sur votre langue pour stimuler votre sens du goût et de l’odorat, comme un « chewing-gum électronique ».

“Cette petite chose a changé toute la réunion”, dit-il. “Nous avons obtenu de l’argent pour le développement du CD-i et avons fini par travailler avec notre ami Dan Buzzo pour créer ce jeu, mais le projet s’est effondré avec le CD-i.”

Heureusement, travailler sur la musique pour Vendetta finale a été une expérience plus réussie tout en offrant au duo une nouvelle façon rafraîchissante d’écrire de la musique.

“Les pistes sont directes”, déclare Garbutt. «Il n’y a pas d’introductions; ceux-ci sont juste dedans. Habituellement, quand nous écrivons une piste, il y aura une intro, une section de 16 mesures qui se superpose, puis vous pouvez créer une autre section qui va au-dessus. C’est bien aussi parce qu’avec un single ou un album, vous obtenez aussi longtemps que vous voulez l’écrire, ce qui peut parfois finir par vous prendre une éternité, alors qu’avec un jeu vidéo, c’est comme, ‘nous voulons ça d’ici mardi à 9 heures du matin.’

“Le côté perfectionniste de nous dirait” non, vous ne terminez jamais une piste, vous l’abandonnez simplement “, mais pour cela, c’était vraiment bien d’avoir ce cadre”, ajoute Willis. “En termes d’écriture de la musique, c’est plus ciblé, et avoir un délai vous aide simplement à réaliser qu’il n’y a absolument aucune place pour disparaître.”

Si vous êtes fan de la musique de Rues de la rageil est impossible d’échapper au fait que vous allez tomber amoureux de la musique pour laquelle Utah Saints et Featurecast ont écrit Vendetta finaleet je dis ça comme un inconditionnel Rues de la rage ventilateur. Pour les Utah Saints, il est normal que leur musique soit maintenant associée à un jeu de combat étant donné qu’ils ont écrit la musique du générique de fin du original Combat mortel film.

Les légendes de la danse des années 90, les Utah Saints, sur la création d’une nouvelle musique pour “Final Vendetta”
Crédit : Saints de l’Utah

En ce qui concerne la suite des Utah Saints, ils travaillent sur de nouvelles musiques et pensent qu’il reste beaucoup à donner. L’année prochaine marque le 30e anniversaire de leur premier album éponyme, donc la paire dit que vous pouvez vous attendre à entendre de nombreuses éditions et remixes uniques sur Spotify et d’autres plateformes.

“Il y a six ans, nous nous sommes assis pour analyser la musique que nous faisions et avons réalisé que nous faisions beaucoup de musique mélancolique, et nous pensions que c’était vraiment hors marque et pas ce que l’Utah devrait faire, alors nous nous sommes réévalués et la façon dont nous travaillons », dit Willis. « Parce que nous étions là au tout début et à cause de la façon dont la musique électronique est maintenant, nous pensons toujours que nous avons quelque chose à dire. Si nous ne pensions pas cela, nous ferions des choses différentes.

«Nous aimerions aussi jouer quelques matchs de plus. Nous avons vraiment apprécié Vendetta finale. C’est un jeu méchant et un projet méchant auquel participer, et artistiquement, c’est génial de ne pas avoir à trop réfléchir aux pistes.

Si vous avez apprécié cette plongée profonde dans le monde des bandes sonores de jeux, regarde le reste Hé! Ecoutez ici.

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