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Le président du Williams College exhorte le public à participer à l’enquête sur les graffitis du drapeau confédéré sur le monument de guerre | Berkshires du Nord

Publié le 11 octobre 2022 par Mycamer





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Cette statue sur le campus du Williams College, connue sous le nom de Monument des soldats honorant ceux qui ont servi dans l’armée de l’Union pendant la guerre civile, a été dégradée par un ou plusieurs vandales au cours du week-end.


SCOTT STAFFORD – L’AIGLE DU BERKSHIRE

WILLIAMSTOWN – Quelqu’un a dégradé un mémorial aux soldats de l’Union qui ont servi pendant la guerre civile en peignant sur un drapeau confédéré et le mot «rebelle», déclenchant une vive réaction de la part du président du Williams College.

“Le drapeau confédéré et le mot” rebelle “sont couramment utilisés comme symboles par les suprémacistes blancs et d’autres factions extrémistes”, a écrit Maud Mandel dans une lettre à la communauté universitaire. “L’apparition de ces marques est une preuve supplémentaire que nous vivons dans un monde où les gens ont des idées racistes et autrement haineuses. Quand quelqu’un défigure notre campus – notre propre maison – avec des symboles de ces idéologies, cela devient particulièrement personnel.

Mandel a déclaré qu’un résident de Williamstown avait appelé la sécurité du campus dimanche matin pour signaler le vandalisme du monument des soldats, à l’extérieur de Griffin Hall.






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Cette statue sur le campus du Williams College, connue sous le nom de Monument des soldats honorant ceux qui ont servi dans l’armée de l’Union pendant la guerre civile, a été dégradée par un ou plusieurs vandales au cours du week-end.


SCOTT STAFFORD – L’AIGLE DU BERKSHIRE

Au cours des dernières années, des statues et des mémoriaux dédiés à l’armée confédérée et à ses soldats ont fait l’objet de protestations, de vandalisme et d’enlèvement car beaucoup estimaient qu’ils commémoraient un mouvement raciste pour défendre l’esclavage.

Le personnel du Collège avait retiré les marques lundi matin, a écrit Mandel.

“Je me joindrai à vous tous pour défendre le droit de chaque membre de cette communauté de vivre et de travailler ici sans parti pris ni intimidation”, a déclaré Mandel.


Le racisme dans le passé de Williamstown résonne, comprend des incendies croisés et des campagnes du KKK

Elle a conseillé aux étudiants intéressés à aider l’effort de lutte contre le racisme de visiter le bureau de la justice raciale du Bureau de la diversité institutionnelle, de l’équité et de l’inclusion (OIDEI). page webqui comprend des informations sur les efforts antiracistes et connexes de la communauté universitaire, aux niveaux local et national.

Toute personne souhaitant participer doit contacter le personnel de l’OIDEI au diversité@williams.edu.

“Nos collègues de l’OIDEI, du bureau du doyen, des services de bien-être intégratifs, du bureau des aumôniers et d’autres domaines aideront quiconque souhaite un soutien personnel ou de groupe”, a déclaré Mandel.

Les services de sécurité du campus mènent une enquête sur le vandalisme avec le soutien du département de police de Williamstown, selon le porte-parole du collège, Jim Reische.

“L’équipe des services de sécurité du campus tentera d’identifier la ou les personnes responsables des graffitis”, a écrit Mandel dans sa lettre.

Mandel a demandé à la communauté universitaire d’aider à l’enquête. “Si vous avez des informations qui pourraient être pertinentes, veuillez contacter le CSS au 413-597-4444. Si vous avez remarqué le graffiti à tout moment au cours du week-end avant que les agents du CSS n’arrivent sur les lieux, veuillez également partager cette information avec eux, car il pourrait nous aider à déterminer le moment de l’infraction.


Notre avis : Pourquoi rapporter le passé ?  Une étude de cas à Williamstown

Reische a déclaré que le piédestal du monument avait été nettoyé en grande partie dimanche. Le coût du nettoyage n’était pas significatif.

“En tant que membres de la communauté Williams, nous devons en faire un endroit où chacun est également capable de poursuivre ses études, de faire son travail et de vivre sa vie avec un même sentiment d’appartenance”, a écrit Mandel.



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