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George Harrison ne voulait pas imaginer un monde sans Bob Dylan

Publié le 31 janvier 2023 par John Lenmac @yellowsubnet

George Harrison ne voulait pas imaginer un monde sans son ami et compagnon de groupe Bob Dylan. Ce serait l’un de ses cauchemars. L’ancien Beatle aimait beaucoup le chanteur de “Like a Rolling Stone”.

George Harrison a aimé Bob Dylan dès qu’il l’a vu pour la première fois.

Dès que George a vu Dylan pour la première fois, il l’a aimé.

Dans Here Comes The Sun : The Spiritual And Musical Journey Of George Harrison, Joshua M. Greene écrit qu’adolescent, George a vu Dylan pour la première fois à Liverpool, dans le cadre d’un programme télévisé de Granada consacré aux poètes beat de New York.

“Lors d’un passage à Paris en 1964, les Beatles ont acheté deux albums de Bob Dylan dans une station de radio et ont été tellement fascinés par ses paroles sages et ses accords simples qu’ils les ont joués en permanence dans leur suite de l’Hôtel George V”, écrit Greene.

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L’admiration était mutuelle. Pour Dylan, il était clair que les Beatles “faisaient des choses que personne ne faisait. Leurs accords étaient scandaleux et leurs harmonies rendaient tout cela valable, mais je gardais pour moi qu’ils me plaisaient vraiment”, a-t-il déclaré au biographe Anthony Scaduto.

“Tout le monde pensait qu’ils étaient destinés aux ados, qu’ils allaient disparaître tout de suite, mais il était évident pour moi qu’ils avaient de la suite dans les idées”.

Les Beatles ont finalement rencontré Dylan en août 1964. Au cours de cette rencontre, Dylan aurait initié le groupe à la marijuana. George est devenu un grand fan de Dylan. Contrairement à d’autres, il est émerveillé par tout ce que fait l’auteur-compositeur-interprète, qu’il s’agisse de folk, de rock ou de country.

George assiste à la performance de Dylan au Royal Albert Hall de Londres en mai 1965. Dylan entre sur scène avec une guitare électrique, ce qui provoque les huées des fans.

Greene poursuit : “George traite ceux qui quittent le concert d'”idiots” et affirme que “c’est toujours du pur Dylan, et il doit trouver ses propres orientations. S’il avait envie d’électrification, c’est comme ça qu’il devait le faire. Qui fixe les règles ?


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