Depardieu, un corps rabelaisien au pays des Woke

Par Marcalpozzo

On ne trouve pas plus binaires que les wokistes : soyez des Élus de notre nouvel ordre moral, sinon vous serez les Damnés. Dernière cible en date : Gérard Depardieu. Condamné à un procès médiatique sans appel et une cabale populaire moyenâgeuse, suite au documentaire essentiellement à charge de « Complément d’enquête » (qui refuse de produire les images incriminées à ceux qui les demandent) on a assisté en direct à l’assassinat d’un homme et à la lâcheté et la haine des « commissaires aux mains propres », commissaires politiques qui confisquent systématiquement le débat au nom du Bien absolu (le leur !) et près à tout pour en découdre, refusant à l’acteur et icône déchue tout autre forme de procès que le tribunal médiatique et l’exécution publique. C’est dans ce contexte, et essentiellement dans ce contexte, que j’ai décidé de défendre Gerard Depardieu, par cette tribune parue dans le site du magazine Entreprendre. La voici désormais en accès libre dans l'Ouvroir.