Paru en 1987 aux éditions Albert-René, il s'agit du 28e épisode des aventures d'Astérix. La version dont je vais parler est celle de France Loisirs qui est la même pour l'histoire, mais avec une qualité de papier bien moins bonne.
Après que leur village ait été reconstruit par les Romains, nos amis fêtent l'événement par un banquet. Malheureusement, Assurancetourix décide de chanter, ce qui déclenche une pluie torrentielle. Pire, un fakir tombe alors du ciel à cause des intempéries. Il est justement à la recherche du Gaulois qui fait pleuvoir avec sa voix. Astérix et Obélix vont accompagner leur barde pour sauver la princesse Rahazade d'une mort horrible si la pluie n'arrive pas dans son pays : l'Inde. Utilisant le tapis volant du fakir, ils traversent, l'Europe et l'Asie afin de sauver Rahazade, ce qui ne se fera pas de multiples péripéties.
Si on oublie le fait que la voix du barde n'avait jamais fait pleuvoir avant que cela ne devienne l'argument principal de cette aventure, cet album est dans la lignée du précédent. On sourit parfois, sans vraiment rire comme du temps de Goscinny au scénario. Chaque nouvel album nous démontre à quel point le grand René nous manque. Heureusement, Uderzo conserve sa maestria graphique, mais ça ne suffit pas à rendre l'histoire inoubliable.
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