Un panier de pommes pourries posé sur le buffet de la cuisine. Les mouches conviées au festin, repas des spectres entamé depuis si longtemps que les fenêtres se sont oxydées. Tu lèves les yeux, peines à distinguer les particules de soufre des échos du jour qui éclaboussent la matière autour de toi. L’odeur rance te tourne dans la tête comme le refrain d’une chanson composée par Ian Curtis et tu échoues à résoudre l’équation de l’aurore