Un pape qui meurt un jour de Pâques, dans quelques siècles nous en parlerons toujours. Les croix et les églises existeront toujours.
Mon copain Julien Aubert a eu cette jolie phrase :
Le Pape François est décédé un lendemain de Pâques, rappelant Jean-Paul II, disparu trois jours avant cette grande fête chrétienne. Le pape du bout du monde a bousculé les conservateurs catholiques mais joué un rôle essentiel pour rappeler à l’Eglise sa vocation évangélique. En cela, avec Benoit XVI (la raison) et Jean-Paul II (la foi), François (le cœur) représentait le troisième visage du Christianisme.
Les trois visages du christianisme, c'est plutôt joli.
Certains n'aiment pas le Pape François. Je n'avais pas vraiment d'avis. Mais je reconnais l'homme d'Etat et de foi qu'il était, et l'homme de coeur.
Michel Sardou avait chanté le San Lorenzo.