Les arbres se multiplient, le goudron rétrécit et les bruits de l’humanité s’effacent. Pierre B. sent son estomac se nouer. Oppressé, il arrête la voiture sur le bas-côté et appelle sa femme : tu avais raison, c’est horrible la campagne, j’ai peur, je rentre.
Les arbres se multiplient, le goudron rétrécit et les bruits de l’humanité s’effacent. Pierre B. sent son estomac se nouer. Oppressé, il arrête la voiture sur le bas-côté et appelle sa femme : tu avais raison, c’est horrible la campagne, j’ai peur, je rentre.