Balle de match
Harlan Coben & Myron Bolitar, le duo gagnant des boîtes à livres ! C’est déjà le 4ème opus de cette série de thriller. Après Du sang sur le green, Rupture de contrat et Faux rebond, j’ai lu avec grand plaisir Balle de match !
Myron Bolitar est un ancien champion de basket-ball et ex-agent du FBI. Il est maintenant un agent sportif. Il est toujours entouré de ses fidèles compagnons. Il y a Win, alias Windsor Horne Lockwood, troisième du nom, qui aime régler certains problèmes à sa manière. Il y a également Esperenza Diaz, une ancienne catcheuse connue sous le nom de Petite Pocahontas. Myron Bolitar a un nouveau poulain, le tennisman Duane Richwood, une future star. Lors d’un match de l’US Open, un coup de feu éclate. Myron et Win, présents sur les lieux, accourent et découvrent le corps sans vie de Valérie Simpson, une ex-star du tennis qui préparait son retour. Il se trouve que Valérie avait contacté Myron peu de temps avant ce drame et qu’elle voulait s’entretenir avec lui. Six ans auparavant, Valérie avait subi un drame : son petit ami – fils d’un homme politique important – a été poignardé. L’affaire a été (trop) rapidement réglée, pourquoi ? Myron doit enquêter afin de trouver les différentes pièces de ce puzzle où politique et gros bras vont lui mettre pas mal de bâtons dans les roues.
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La cerise sur le gâteau
Un livre emprunté à Dachstein par Sév. Une couverture rouge et fleurie, un bon signe ? je confirme. C’est l’histoire de Bernard et Brigitte. Elle est à la retraite et lui, bientôt. Ils vont devoir réapprendre à vivre à deux, 24h sur 24. Brigitte avait pris ses petites habitudes, elle va devoir les bousculer. En bonus, des petits-enfants dynamiques, une belle-fille surnommée « le dragon » et des voisins insupportables. En lisant ce roman « feel good », je n’ai pas pu m’empêcher de faire le rapprochement avec les romans de Nicole de Buron. Des similitudes dans ces tranches de vie mais celles d’Aurélie Valognes sont plus contemporaines. Bernard doit aider Paul, son petit-fils, pour un travail de vacances sur le 7ième continent. Comment va-t-il faire pour ne pas le décevoir sachant que Paul adore la fable du colibri. Celle où le minuscule oiseau fait de nombreux allers-retours avec deux gouttes d’eau dans son bec afin d’éteindre un incendie. Il ne faut pas oublier Charlotte, la sœur de Paul qui adore la quiche de Rennes, euh, la quiche Lorraine !
Un roman très sympathique à lire de préférence après un bon thriller.
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La maison assassinée
Livre (encore) emprunté à Dachstein par Sév. Je ne pensais pas le lire car j’avais en tête l’image de Patrick Bruel. Pourtant, je n’n’ai pas vu le film tiré de ce roman qui se passe à la campagne, au début du XXième siècle. Lire un livre en ayant déjà un visuel en tête n’est pas forcément un avantage sauf s’il s’agit d’Audrey Hepburn ou d’Emily Blunt. Sév a adoré et j’ai décidé d’ouvrir ce livre et de commencer à le découvrir et à le dévorer !
Je me suis rendu compte, une fois le livre fini, qu’il y avait une quatrième de couverture à un autre endroit… Elle se trouvait dans le rabat. J’avais fait attention au dernier rabat, avec des infos sur l’auteur mais au premier… Je vous livre donc directement cette quatrième de couverture :
Au début du siècle, cinq personnes sont massacrées à coups de couteau dans une auberge de Haute Provence. Seul un bébé de trois semaines échappe miraculeusement à la mort. En 1920, le survivant croit découvrir les coupables, mais deux d’entre eux, un nouveau riche et le propriétaire d’un moulin à huile, sont assassinés à leur tour avant que Séraphin Monge ait pu accomplir sa vengeance. Insensible à l’amour des filles, obsédé par le visage de sa mère qui hante ses cauchemars, tout entier voué à la découverte d’il ne sait quel secret, le justicier Monge entreprend par ailleurs de démolir la maison maudite de fond en comble…
Je ne regrette pas d’avoir suivi les conseils de Sév et de ne pas m’être fié à certaines apparences et préjugés.
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Vous connaissez ces auteurs ?
Vous avez lu ces livres ?
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