The Fine Print – Lauren Asher (Dreamland Billionaires #1)

Par Ettoitulisquoi @ettoitulisquoi

The Fine Print (Tome 1)

Lauren Asher

Edition : BMR

Zahra et Rowan

Mon avis en bref : À vite oublier malheureusement 

4 mois pour lire ce roman, ça ne peut pas être bon signe, vous vous en doutez. Arrivée à 60% du livre, j’ai commencé réellement à perdre de l’intérêt pour l’histoire. Zahra m’a particulièrement agacée, car son originalité et son côté extravertie, un peu loufoque a laissé place à une sorte d’autoritarisme, d’égoïsme, d’auto-centrisme même dont j’ai fait un rejet. R

owan lui est parti en sens inverse en s’écrasant, se dévalorisant, se transformant en carpette.

L’histoire partait sur un thème basique, éculé, vu, revu, lu et relu : la fille pauvre et le milliardaire. C’est un concept qui marche bien, même si ce n’est pas mon thème de prédilection, pourquoi ce sont toujours les femmes qui sont sans ressource et les hommes trop riches pour vraiment en profiter ? Mais soit. 

Quelqu’un avait fait un post sur un insta il y a quelques temps qui disait (et je le ressors de temps en temps) que tout avait été écrit et que la vraie originalité était la manière d’écrire quelque chose que nous aurions déjà lu, mais dans un autre contexte et avec une autre plume.

Alors ici difficile de se faire une idée de la plume car la traduction était une petite catastrophe comme cela est bien trop souvent le cas chez BMR.

Quand on lit : « traitement préférentiel » au lieu de traitement de faveur (puisqu’on parle d’une humaine quand même et pas d’un tarif…) ; ou « Même si c’est découragé pour les employés qui travaillent au même endroit, ce n’est pas interdit » (seriously ?? que veut dire cette phrase ?)  ou encore « tu as été beaucoup inconsciente » (que mon supplice s’achève).

Et je vous ai parlé dans une précédente chronique de ce moment dans les romances entre 75 et 90% de l’avancée où l’auteure nous fâche nos amoureux, j’ai appelé ça du C4, difficile à manier, à utiliser avec précaution.

Ici, l’auteure a pris le C4 à pleines mains, je ne vous dis pas la catastrophe surtout avec le personnage de Zahra qui devient juste imbuvable. 

Pour finir, je pense que ce roman est le cliché du cliché du cliché, vous avez du smut mais vraiment trop, il y a un passage qui prend 10% du roman, donc Rowan a une santé de fer on ne lui enlèvera pas ça

J’avais acheté les 3 tomes papiers autant vous dire mon regret d’avoir laissé les RS me matrixer le cerveau. On ne m’y reprendra plus. J’ai quand même – et j’ai sûrement tort – vachement d’espoir sur les frères de Rowan. 

Je vais laisser passer du temps avant de me lancer et tenter d’abord une lecture plus safe. 

En bref et comme toujours dans ces cas-là, je n’étais pas le public visé très probablement. 

Lucie

Zahra a toujours adoré « Dreamland », le parc d’attractions emblématique de la famille Kane. Lorsqu’elle se laisse aller, sous l’effet de l’alcool, à critiquer l’une de leurs attractions les plus coûteuses, elle s’attend à être inévitablement licenciée. À son grand étonnement, le nouveau dirigeant, Rowan Kane, l’engage en tant que créatrice pour la repenser.
La déterminée et solaire Zahra se retrouve enfin à occuper le poste de ses rêves… mais sous les ordres du patron le plus exigeant qu’elle ait jamais rencontré ! Rowan est un homme d’affaires froid et égoïste, dont les décisions sont sans pitié. Mais cela ne la décourage pas, du moins jusqu’à ce qu’elle découvre son secret. Le moment est venu pour elle de faire comprendre à ce milliardaire, son parfait opposé, que l’argent ne peut pas tout résoudre. Et certainement pas leur situation.
« Dreamland Billionaires » est le premier tome d’une série de romans indépendants mais interconnectés, qui suit l’histoire de trois frères milliardaires.