Attention lire cet avis spoilera les 4 premiers tomes.
Résumé : Entre aventures magiques, banquets mémorables, chasses nocturnes et moments intimes, ces huit histoires explorent la vie des héros après les événements marquants du roman. Du lever au coucher du soleil, ces récits offrent un dernier regard empreint de tendresse et d’humour sur un monde qui continue de vibrer, même après la fin de l’épopée.
Un incontournable pour les fans en quête d’émotions et de réponses.
Avis : Ce dernier tome contient huit nouvelles dans cet univers afin de nous régaler d’un peu plus d’histoires et d’amour. J’ai néanmoins sauté une des nouvelles : « le brûleur d’encens » car celle-ci est trop sexuelle et dérangeante pour moi, je préfère garder le coté un peu choubidou de Lan Zhan et Wei Ying. Bien sûr, dans d’autres nouvelles ils couchent ensemble mais c’est peut-être un peu moins graphique. On retrouve beaucoup de tendresse entre eux, beaucoup d’amour, des petits gestes trop mignons comme des baisers ou cette façon que Wei Ying a de chatouiller le menton de Lan Zhan et que j’adore. On les découvre un peu plus dans des moments plus mignons, plus tendre, car ils sont ensemble simplement. Ils aident les gens dans le besoin, mais à leur façon.
Ces nouvelles étaient mignonnes par moment, truculentes dans d’autres. On retrouve les enfants Lan Sizhui et Jin Ling. On a le droit à une scène adorable entre Jiang Cheng et Wei Ying quand ils étaient ados. On va aussi avoir un passage avec Xue Yang et Meng Yao (mais comme je déteste Meng Yao c’est la nouvelle que j’ai le moins aimé). Il y a des passages qui m’ont fait glousser tellement c’était adorable et parfois j’ai hurlé de rire (et pas toujours pour les bonnes raisons). En bref, c’était tout chou (même si un peu sexuel) et ça m’a beaucoup plu, même si je suis malheureuse car j’ai finis de lire sur cet univers, sur Lan Zhan et Wei Ying, sur les autres, et ça me rend triste parce que je les aime beaucoup.
Phrase post-itée :
« Les caresses de Lan Wangji éveillaient des picotements qui commençaient sur la peau de Wei Wuxian et migraient jusqu’au plus profond de son cœur. »