".../...Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec le sable qui se remonte un peu.../..."
"L'immobilité, ça dérange le siècle
C'est un peu le sourire de la vitesse
Et ça sourit pas lerche, la vitesse, en ces temps
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti"
Léo Ferré- extraits de: "Il n'y a plus rien"
"C'est la chanson la plus belle que je connaisse."Je l'avais lu dans un livre du genre gros bouquin, heu!dans les cinq cent pages quoiTu vois?avec une vitrine en forme de Triumph Bonneville 650et une jambe longue sur talons hauts tout à côtéet forcément pas dessusparce queen ce qui concerne ma modeste expérience de bolide pas japonais il paraîttout de même un peu aventureuxde se risquer à chevaucher cet animal anglaisavec ce style de pompes.
Mais suis-je bête
le dessin rouge et noir"légérement" aguicheurc'est juste pour vendre le bouquin.Tout est dans la formuleavec les présentoirs.Le mien -de livre- je l'ai trouvé dans une boite à livres.Je dis pas ça pour me flageller ou m'excuser de quoi que ce soit-Je vous connais, enfin certains...-maissoupir!"C'est la chanson la plus belle que je connaisse, lui murmura sa voisine.May la trouvait plus triste que belle, la vérité était entre les deux". C'est quoi le titre?Je vous remercie pour la question posée si délicatement..;Il s'agit de: "La dernière des Stanfield "de Marc Levy sorti en 2027.Et voilà, vous savez tout.Ah non je veux juste rajouter une citation trouvée dans le pré en bulles:"Il y a trois versions à une histoire: la vôtre...la mienne...et celle qui est vraie.Personne ne ment." Robert Evans|[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{
Revue de détails depuis mon poste d'observation:Au fond, une grille.Devant, un arbre imposant posé immobile sur son gazon encore vert,pour son âge.Parfois, un groupe de nuages transporte les vents de l'estuaire et tempère les ardeurs du soleil.Des fleurs aussi, nombreuses; blanches, rouges, jaunes, roses ... exposées comme à la parade;et encore, l'accent de pas feutrés sur la terre sableuse des chemins.
"Mon" jardin est parfois japonais ou alors rocailleux à l'anglaise, romantique,
laissant la nature s'ébouriffer à l'envie.En vérité, il s'alimente en permanence tout au long de l'année, grâce à des poètes jardiniersqui racontent des histoires, fabriquées avec tout leur savoir et l'utilisation ingénieuse de matériaux de récupération: bois sculpté à partir d'arbres n'ayant pas résisté à la dernière tempête de l'hiver; de la ferraille brut transformée en tuteurs, une chaumière briéronne ...A chaque saison, ses surprises et ses ravissements;comme un préambule à des aventures un peu plus salées qui se jaugent aux marées, à quelques encablures, de l'autre côté des grilles."Le droit à la différence n'est une liberté que si elle est assortie du droit d'être différent de sa différence, dans le cas contraire c'est un piège, voir un esclavage."" il faut que les enfants aient le plaisir d'oublier leur communauté d'origine et de penser à autre chose que ce qu'ils sont pour pouvoir penser par eux-mêmes."Elisabeth Badinter
Il n'ya pas si longtemps je regardais les vieux comme "on" me regarde aujourd'huiavec...Avec quoi?J'ai oublié...
"La vie est à l'échelle du peut-être,rien que cela,tout cela.
Je change souvent de poste d'observation;C'est une affaire de toute saison avec ses nouvelles de piétons,bribes d'histoires, d'interrogations en suspension.C'est ainsi que j'aime croiser les gens, sans rien savoir de plus que ce que je peux m'imaginer d'eux;Je me fais certainement comme l'on dit: des idées,mais s'ils s'arrêtaient pour me raconter à leur sauce quelque histoires de vie;seraient-elles plus justes que les miennes ?