J'ai besoin de tes forces, car je me sens à bout de nerfs. […] Tu vois donc que tu dois tout faire pour retrouver ton équilibre moral et physique : c'est le nôtre. Je m'efforce à te dire tout cela. Si je me laissais aller tu n'entendrais qu'un cri d'appel continu ; pour être sincère, je ne peux plus vivre sans toi.
C'est pour cela justement que je veux vivre et que tu vives longtemps. Mais je ne veux pas penser à cela ; je me sens devenir folle moi aussi. Soigne-toi. Fais pour le mieux. Je t'aime comme je vis.
Lettre de Maria Casarès à Albert Camus
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