De l’Afrique du Sud au Brésil, du Cap-Vert à l’Inde, de la Nouvelle-Calédonie au Mali, jusqu’à la France, sa terre de mots et de rencontres — l’album trace une cartographie sensible du monde, portée par une voix cristalline.
Plusieurs titres de l’album ont déjà trouvé leur public. Avec Marseille, ATEF signe une déclaration d’amour à la ville-monde, lieu de brassage et d’humanité.
Moi j’y crois incarne cette foi en l’humain, fragile mais tenace, qui traverse toute son œuvre. Et Je le sens, je le vois, je le sais exprime la puissance de l’intuition et de la confiance dans la vie.
Le nouveau clip Naïf, fraîchement dévoilé, poursuit ce fil lumineux.
Dans un monde souvent cynique, ATEF y célèbre la naïveté comme une force : celle de croire encore, d’aimer malgré tout, de s’émerveiller. La canicule s'abat de nouveau sur nous. Les températures grimpent, les records tombent, et l'été devient, plus que jamais, une épreuve. Mais au-delà de la gêne et des alertes sanitaires, ce que révèle cette chaleur suffocante, c'est une troublante...