- le volume de factures mensuelles ;
- la nécessité ou non de devis, avoirs, relances ;
- l’intégration éventuelle à un logiciel comptable ou un CRM ;
- le besoin d’automatiser des abonnements ou paiements récurrents ;
- les accès utilisateurs et niveaux de permission.
Cette réflexion préalable permet d’éviter de choisir un outil surdimensionné… ou au contraire trop limité.
- Conformité avec les obligations anti-fraude à la TVA : les données doivent être sécurisées, inaltérables et archivées selon les normes.
- Compatibilité avec la facturation électronique : l’outil doit être prêt pour le e-reporting et les échanges via la future plateforme publique.
- Conservation légale des documents : au minimum 10 ans.
- Sécurité des données : hébergement sécurisé, sauvegardes régulières, accès multi-facteur, chiffrement.
- la clarté de l’interface ;
- la facilité de création d’un devis ou d’une facture ;
- la présence de modèles personnalisables ;
- la rapidité du parcours de facturation.
De nouvelles solutions permettent de tout faire en quelques clics. Ouvrir un compte pro en ligne avec Tiime facilement sur cette page Enfin, certaines solutions proposent une période d’essai gratuite : profitez-en pour tester l’ergonomie, sans engagement, et déterminer si l’outil correspond à votre manière de travailler. Il est important de bien comprendre ce que propose le logiciel car souvent il existe des versions gratuites mais qui deviennent payantes pour certaines fonctionnalités ou pire ne les propose pas. Selon votre secteur, certaines fonctionnalités peuvent également être déterminantes : gestion des stocks, intégration e-commerce, synchronisation bancaire, gestion multi-devises… Voici les fonctionnalités incontournables d’un logiciel de facturation moderne :
- Gestion complète des documents commerciaux : Devis, factures, avoirs, bons de commande… Un logiciel performant doit centraliser toute la chaîne commerciale.
- Automatisation : Envoi automatique des factures, relances de paiement programmées… Ces automatismes réduisent considérablement les erreurs et le temps passé aux tâches administratives.
- Gestion des paiements : La possibilité d’intégrer les paiements en ligne (CB, virement instantané, prélèvement) facilite l’encaissement et améliore la trésorerie.
- Suivi des impayés : Un tableau de bord clair et des relances automatisées permettent de réduire les retards de paiement, problème majeur des petites entreprises.
- Reporting et tableaux de bord : Un bon logiciel vous aide à piloter votre activité : CA mensuel, statut des factures, performance commerciale, projection de trésorerie.
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