Remington, roman de Joseph Incardona (Fayard noir), dont j'aime beaucoup le ton désenchanté, et dont le titre fait référence à l'outil de travail du narrateur...
Plus sombre encore, dans une autre collection "noire" : Vendeur de cauchemars d'André Benchetrit (DoAdo... noir, Le Rouergue), qui oscille entre réalité et fantastique.
Dans un tout autre genre, j'apprécie le style fluide et la narration déstructurée de Fenêtre sur l'abîme de Sumana Sinha, qui signe là son premier roman (Editions de la différence). Myriam présente l'auteure ici .
Du côté des essais, hormis celui-ci, je me suis intéressée à un ouvrage que les éditions Métailié remettent en vente : Signes d'identité, Tatouages, Piercings et autres marques corporelles de David Le Breton, dans la collection Traversées - l'occasion de me plonger dans une étude passionnante, où l'auteur analyse et commente, sans porter aucun jugement moral (ce qui, entre nous, change un peu).