Alors que DoCoMo a su définir un standard en impliquant rapidement des partenaires complémentaires et en apportant un véritable plus aux consommateurs, à l'inverse selon l'auteur, l'initiative Suisse n'aurait pas su respecter 4 critères essentiels, c'est à dire : apporter un service à valeur ajoutée aux utilisateurs, avec une technologie trop complexe, sans interopérabilité et en faisant cavalier seul.