Selon certains magazines étatsuniens et italiens rapportent que Carla Bruni et sa sœur Valeria Bruni Tedeschi ont vraisemblablement utilisé tout leurs pouvoirs respectifs pour faire annuler l’extradition de l’ex-activiste des Bridages rouges, Marina Petrella. En effet, Valeria Bruni-Tedeschi, la sœur de la première Dame de France, aurait plaidé la cause de l’ex-terroriste italienne auprès du chef de l’État, ce qui n’a pas du tout plu aux italiens victimes dans le passé.