A toutes voiles et sans vapeur

Par Pantsavarts

Photographie de Ernesto Timor

Je t'ai vu cuivrée mon amour, seule au monde à toiser, le quart du temps qui se montrait là, et ton sourire derrière le voile, tu te cachais, tu me cherchais, tu m'envoyais des nuances de baisers, des zestes de soupirs, ta bouche masquée derrière le voile, tu paraissais, tu m'envolais, tu reculais, tu soufflais même par moment, et à d'autres faims me voilà pantelant, le désir montant, je ferme les yeux, soleil couchant, je ferme les yeux, pour mieux te voir, je ferme les yeux, et voilà en plein dans l'histoire, on tombe l'un sur l'autre. [...]

à lire le magazine impudique, fortement conseillé pour réveiller les sens...

Merci à Cali Rise d'avoir apprécié mon texte.