Voir Transformers et avoir toujours huit ans

Par Christophe Greuet

Exercice casse-gueule par excellence, l’adaptation sur grand écran de jeux et lignes de jouets engendre plus souvent le pire (Doom, Les maîtres de l’univers) que le meilleur (Silent hill), voire même le futur classique familial (Pirates des caraïbes, basé sur une attraction de Disneyland). Contre toute-attente, c’est plutôt dans la fourchette haute qu’il faudra classer l’improbable mutation de Transformers au cinéma, proposée par Steven Spielberg à un Michael Bay plus en forme que jamais.