Ah, voilà un torero qui a été trés contreversé : Le plus mauvais des trouillards pour les uns, le plus grand artiste pour les autres.
Pour ma part j'étais du côté des premiers, jusqu'à une fameuse corrida du 21 septembre 1991. Et je suis devenu depuis ce jour un de ses plus grands admirateurs. Le seul qui m'a fait vivre un moment d' éternité qui a duré...5 minutes !
Les photos sont prises à Nîmes, hélas, ce ne sont pas celles de cette corrida du bonheur (Pour retrouver cette journée, procurez vous donc le livre de J.M.Magnan et L. Clergue " Une faena de Curro Romero" entièrement consacré à ce fameux jour).