Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis la signature des conventions entre l’État et les sociétés australienne Mineral Deposit Limit (MDL) et canadienne Oromin. Des acteurs non étatiques et des élus locaux ont décrié le mode opératoire relatif à la signature des conventions, synonyme selon eux d’une certaine « opacité ». Ce que récuse la direction des mines et de la géologie.