Portrait de la future Première dame Des États-Unis, le “socle” du prochain Président: Michelle Obama

Publié le 27 novembre 2008 par Ndeyamy
Femme à la personnalité bien affirmée, professionnelle compétente et diplômée des meilleures universités américaines, Michelle Obama présente un profil peu courant chez une première dame
17/11/2008
Par Patricia Turnier

Michelle LaVaughn Robinson Obama est une juriste américaine plus précisément une avocate née le 17 janvier 1964. Son défunt père Frasier Robinson était un employé de la ville de Chicago (au service municipal des eaux) et un capitaine de la circonscription administrative démocrate. La mère, Marian Robinson, a occupé la fonction de secrétaire pour le catalogue du magasin Spiegel. Elle a aussi travaillé pour une banque. Michelle Robinson a grandi au Sud de la ville de Chicago. Elle a été élevée de façon conventionnelle et traditionnelle par deux parents où il fallait souper ensemble tous les soirs. Michelle Robinson a terminé ses études secondaires à l’école Whitney Young en 1981. Lorsque Craig, son frère aîné, est entré plus tard à Princeton, la jeune Michelle s’est dit : « Pourquoi pas moi ? Je suis plus intelligente. » « Elle a horreur de perdre », plaisante son frère. Dans la première partie de ses études supérieures, Michelle Robinson a effectué une majeure en sociologie et une mineure dans le domaine des études afro-américaines à l’université Princeton où elle a terminé un bac en art avec mention cum laude en 1985. A Princeton, elle a défié la méthodologie d’apprentissage en optant pour le français comme langue d’études apprise au secondaire pendant trois ans. Elle a écrit un mémoire intitulé « Princeton-Educated Blacks and the Black Community » (Les Noirs diplômés à Princeton et la communauté noire"). Plus tard, madame Robinson a intégré la Faculté de droit de l’Université Harvard. Elle a obtenu son J.D à l’école de droit de l’Université Harvard en 1988. Pendant ses études à Harvard, elle a participé à des manifestations politiques pour revendiquer l’embauche de professeurs issus des minorités.
Plus tard, la juriste a rencontré Barack Obama à la firme Sidley Austin (un cabinet d’avocats d’affaires) où elle détenait une expertise en marketing et en propriété intellectuelle. En 1988, madame Robinson a été désignée par son patron pour superviser le nouveau venu et stagiaire (durant la période estivale), Barack Obama. Elle ne se doutait pas à l’époque que ce jeune homme deviendrait son futur époux qui lui permettrait de devenir la Première dame de la République américaine. L'avocate a trouvé Obama charmant, comique, bref à son goût dès la première rencontre. Monsieur Obama ne s’est pas laissé intimider par la personnalité affirmée de sa future épouse. Cette dernière n’est pas passée inaperçue concernant Obama. Celui-ci l’a décrite dans sa deuxième autobiographie « L’audace d’espérer » comme une très belle femme. Leur relation a commencé plus précisément lors d’un brunch d’affaires et lors d’une rencontre pour une organisation communautaire où Obama a fait une première bonne impression auprès de madame Robinson. Le premier rendez-vous du couple a été le visionnement du film de Spike Lee « Do the right thing ». Plus tard, l’épouse du candidat démocrate aime relater qu’elle a longtemps résisté à son charme, avant de céder un soir quand il l’a emmenée au cinéma. Il venait de la séduire avec l’une de ses tirades brossant déjà «le monde tel qu’il devrait être». Michelle Robinson a été attirée par les qualités intrinsèques de son futur mari qui n’avait pas d’argent à l’époque. Il ne pouvait donc pas l’impressionner avec des choses matérielles. Il a donc utilisé les traits inhérents à sa personnalité pour gagner le cœur de sa future épouse. Cette dernière l’aime pour ses valeurs immanentes.
En octobre 1992, le couple s’est marié et a eu ultérieurement deux filles, Malia Ann née le 4 juillet 1998 et Sasha (surnom de Natasha) en 2001. Une fois marié, le couple a décidé de rester à Chicago au lieu de se rapprocher de Washington. Il importe de souligner que madame Obama a apporté son carnet d’adresses à un Barack Obama encore incertain sur sa carrière. De cette façon, elle l’a introduit dans le milieu politique de l’Illinois. Dans cette perspective, elle lui a fait rencontrer toutes les hautes personalités du Parti démocrate local, et ils ont débuté ensemble à construire un tissu de relations qui sera plus tard au centre de la campagne présidentielle. Grâce à sa femme, Barack Obama a pu créer le réseau lui permettant d’être élu d’abord au congrès de l’Etat puis au Sénat à Washington. Michelle a aidé son époux à prendre racine dans la communauté noire de Chicago et il a découvert la stabilité qu’il souhaite assurer à ses propres enfants. Depuis l'annonce de la candidature de son mari à la présidence américaine, madame Obama a considérablement diminué son activité professionnelle. Ainsi, en mai 2007, trois mois après la déclaration officielle d’Obama concernant sa candidature à la présidence, Michelle Obama a réduit de 80% ses activités professionnelles pour soutenir son mari. Durant la campagne présidentielle de son époux en 2008, madame Obama a pris l’engagement de ne pas s’absenter de ses filles pendant plus d’une nuit par semaine.
Au début de la campagne soit, au mois de février 2008, Michelle Obama a assisté à trente-trois événements en huit jours. Obama a fait au moins deux apparitions durant sa campagne avec Oprah dont une le 10 décembre 2007. Michelle Obama a prononcé des discours pour la campagne présidentielle de son époux. Jennifer Hunter du Chicago Sun-Times a commenté sur un de ses discours : « Michelle Obama s’est exprimée avec détermination et passion pour la campagne de son mari. Ses propos lui venaient tout droit du cœur avec éloquence et intelligence ». Elle a employé une équipe féminine pour la supporter dans son rôle politique. Durant la campagne, elle a beaucoup parlé d’éducation, de travail en lien avec la maternité. La brillante épouse du candidat démocrate a occupé ainsi une fonction primordiale dans la campagne. «Michelle est en fait capitale dans la stratégie du camp Obama», a expliqué Victoria DeFrancesco Soto, professeur en sciences politiques à la Northwestern University de Chicago. Franche et directe, madame Obama a apporté à son mari un charme à l’électorat américain. Elle se démarque également par ses élégantes tenues vestimentaires où elle est souvent parée d’un collier de perles. Certaines critiques ont voulu dépeindre Barack Obama comme un homme ayant reçu une éducation privilégiée ou élitiste en Indonésie et à Hawaï qui ne pourrait pas s’identifier aux gens d’origine modeste. Madame Obama a fait contrepoids à ces critiques en rappelant ses humbles origines où elle avait un père atteint de sclérose en plaques (durant la trentaine) devant faire vivre sa famille.
«Comme tous les Américains, après une longue vie faite de travail et de sacrifice, il voulait juste être fier de lui. Etre fier de ce qu’il avait accompli, regarder derrière lui et prendre sa retraite avec respect et dignité». Madame Obama est très fière de son père qui a continué à travailler (en se plaignant rarement) malgré ses problèmes sérieux de santé. D’ailleurs, il est décédé en se rendant au travail. Michelle Obama admire l’éthique de travail de son feu père. A travers lui, Michelle parle des Noirs, de leurs difficultés, des inégalités qui perdurent dans la société américaine. Elle s’indigne aussi du «cynisme» de certains de ses compatriotes, «qui passent plus de temps à se plaindre qu’à essayer de faire bouger les choses». En sus, Barack Obama a toujours refusé de réduire sa candidature à une «candidature raciale». Son épouse vante le «rêve de changement» de son mari : «C’est lui qui vous apporte la solution, c’est lui qui vous montre le futur que vous pouvez bâtir». De cette façon, on a souvent entendu l’expression phare durant la campagne : « Yes we can ».Michelle Obama a toutefois fait l'objet d'attaques depuis qu'elle a mentionné le 18 février 2008 « que pour la première fois de sa vie elle était vraiment fière de son pays ». Ces propos ont été mal interprétés par certains médias. Elle s’est reprise dans un discours à Madison (Wisconsin) en mentionnant : « Pour la première fois durant ma vie adulte, je suis très fière de mon pays et pas seulement parce que Barack se débrouille très bien mais parce que les gens ont soif d’un changement ».
En juin 2008, la Première dame Laura Bush a souligné que les mots de madame Obama ont mal été interprétés par les médias. « Je crois qu’elle voulait probablement dire je suis encore plus fière. Je pense que c’est réellement ce qu’elle voulait dire » a-t-elle ajouté. Elle a mentionné également que cela fait partie des difficultés d’être la femme d’un président car tout ce que l’on dit est analysé et à plusieurs occasions mal interprété. Ainsi, soutenir son époux pour la course à la Maison-Blanche n’a pas été un choix aisé à faire pour madame Obama. « La raison pour laquelle j’ai dit oui, souligne-t-elle, c’est que je n’en peux plus de cette peur. Je suis fatiguée de vivre dans un pays où toutes les décisions que nous avons prises ces dix dernières années sont motivées par la peur. Peur de ceux qui ont l’air différents, peur de ceux qui pensent et croient autrement, peur les uns des autres. Je ne veux pas que mes filles grandissent dans un pays et un monde qui a peur. »Durant la campagne, la conciliation travail-famille a représenté l’un des thèmes phares touchant le plus madame Obama. Cela fera partie de ses priorités en tant que future Première dame des Etats-Unis. Elle étudiera comment il sera possible de donner davantage de congés parentaux lorsque les enfants sont malades ou pour assister à leurs activités parascolaires. La qualité de vie de famille s’avère donc importante pour la juriste et elle accorde de l’importance aux enfants qui représentent le futur de la nation américaine.
Il importe de noter que deux biographies anglaises ont été consacrées à madame Obama en 2008 et il serait souhaitable qu’une version française soit faite de ces livres : Michelle : A biography, de Liza Mundy et Michelle Obama : First Lady of Hope, de Elizabeth Lightfoot. Avec l’ascension notoire de son mari au niveau de la politique nationale, madame Obama fait maintenant partie intégrante de la culture populaire. En mai 2006, le magazine Essence l’a mise dans la catégorie des 25 femmes les plus inspirantes du monde . En juillet 2007, le magazine Vanity Fair l’a intégrée dans la classe des 10 personnes les mieux habillées du monde . En septembre 2007, le magazine 02138 a mis madame Obama 58e dans la liste des 100 anciens étudiants de Harvard les plus influents. Son mari a été classé quatrième. L’ascension fulgurante d’Obama a demandé une adaptation rapide de la part de son épouse qui doit faire face à une publicité intense et à une célébrité.Il n’a jamais existé un tel précédent pour une future Première dame des Etats-Unis et madame Obama gère cette situation avec brio. Son mari n’appartient plus qu’à elle car cette dernière doit maintenant le partager avec le monde entier. Durant la campagne, madame Obama a fait preuve d’une remarquable incommensurabilité notamment pour se rapprocher des électeurs. Par exemple, en avril 2007, elle a réussi à ramasser une somme de 750 000$ durant le début de la campagne. Elle a donc représenté un appui de taille et un puissant catalyseur pour le candidat à la présidence américaine. Ainsi, le Dwight Hopkins, professeur de théologie à l’université de Chicago et ami de la famille a mentionné que madame Obama « est la seule qui puisse le remettre à sa place quand il se montre trop ambitieux ou trop sûr de lui. Elle est son rocher, comme il dit. Son point d’ancrage face à la folie politique qui l’entoure. Lui est un idéologue pragmatique. Elle est une pragmatique tout court, qui dit toujours ce qu’elle pense ».
En conclusion, le couple est jeune, beau, intelligent, élégant, grâcieux, démocrate et passe à l’histoire. Barack et Michelle Obama forment une belle équipe et font sensation dans le monde entier. On les compare souvent aux Kennedy. Certains appellent d’ailleurs madame Obama « la Jackie Kennedy noire ». Madame Obama ainsi que son mari font rêver l’Amérique et donnent l’espoir à de meilleurs lendemains. Le monde entier a découvert le 4 novembre 2008 que madame Obama deviendra la prochaine Première dame de la nation américaine. Avoir ce couple à la Maison-Blanche transformera à jamais l’image des Etats-Unis dans le monde entier. Monsieur et madame Obama se perçoivent comme des citoyens du monde et ils représentent la preuve vivante de la possibilité de briser le plafond de verre en accédant aux positions les plus suprêmes du pays. Le regard que le monde posera sur l’Amérique changera pour toujours. D’ailleurs, durant la campagne Michelle Obama a dit : « L’une des choses que j’espère le plus concernant notre implication dans cette campagne présidentielle c’est que notre pays et le monde entier verra une autre image de ce que cela peut signifier d’être noir ». En sus, Barack Obama a déclaré : « Il n'y a qu'aux Etats-Unis que mon histoire est possible ». Nous venons donc d’assister à une campagne historique qui a donné naissance au premier afro-américain président de la plus grande puissance mondiale et à la première dame afro-américaine des États-Unis. Le couple incarne le rêve de l’égalité dans la société américaine. Le fameux rêve de Martin Luther King se concrétise ainsi. N’oublions pas que l’investiture d’Obama au Parti démocrate lors de la convention s’est produite 45 ans après le fameux discours « Je fais un rêve ». En sus, l’investiture de Barack Obama aura lieu le lendemain du MLK’s day, soit le 20 janvier 2009 et ce même jour Michelle Obama deviendra la Première dame des Etats-Unis. Ainsi, l’histoire américaine vient de prendre un grand tournant. Nous vous laissons avec ces fameuses citations de Martin Luther King tirées de l’undes plus grands discours du XXe siècle de Martin Luther King "Je fais un rêve " :
« Je rêve que mes quatre petits enfants vivront un jour dans un pays où on ne les jugera pas à la couleur de leur peau mais à la nature de leur caractère. Je fais aujourd’hui un rêve! »«Je vous le dis ici et maintenant, mes amis : même si nous devons affronter des difficultés aujourd’hui et demain, je fais pourtant un rêve. C’est un rêve profondément ancré dans le rêve américain. Je rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la véritable réalité de son credo : « Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont créés égaux »
Parcours professionnel de Michelle Obama:
Suite à ses études à Princeton puis à Harvard, la juriste est retournée à Chicago et elle a œuvré pour le cabinet d'avocat Sidley Austin au sein de l'équipe du maire de la ville, Richard M. Daley ainsi que pour l'Université de Chicago et aussi l'Université de médecine de Chicago. Elle a donc occupé une position dans le secteur public pour la ville de Chicago au niveau gouvernemental en tant qu’assistante pour le maire et assistante-commissaire pour la planification et le développement. Ainsi, en 1993, la jeune avocate a abandonné son salaire très lucratif du cabinet Austin et a appelé le cabinet du maire de Chicago, qui lui a proposé un emploi dès son premier entretien. Elle est donc devenue chef de cabinet et directrice exécutrice pour le Chicago office of Public Allies, une organisation à but non lucratif encourageant les jeunes à travailler sur des projets sociaux pour des groupes et pour des agences gouvernementales. Elle assumait également un rôle de liaison entre les résidants et les organisations se trouvant près des hôpitaux. Michelle Obama, une juriste renommée, était une figure influente du Parti démocrate local et proche du maire de Chicago, Daley."En 1996, elle a occupé la fonction de doyenne associée aux services étudiants de l’Université de Chicago où elle a développé le centre de service communautaire de l’université. En 2001, elle a commencé à travailler pour les hôpitaux affiliés à l’Université de Chicago en tant que directrice exécutive aux affaires communautaires". En mars 2005, elle était vice-présidente pour la communauté et les affaires externes (pour les hôpitaux affiliés à l’Université de Chicago) avec un salaire de 316 962$ (plus de 20 000 euros par mois). Il s’agit d’une promotion qu’elle a obtenue après quatre années de services. Michael Riordan qui était président du centre hospitalier souhaitait élargir le mandat de madame Obama en ayant à approfondir les liens de l’institution avec la communauté. Cela apparaissait donc naturel pour le président d’augmenter son salaire. « Elle représente de l’or, elle est fantastique » a-t-il dit. En sus, le revenu annuel du couple Obama s’élevait à 991 296$ incluant 51 200$ gagné en tant que membre du conseil d’administration de TreeHouse Foods, le salaire d’Obama en tant que sénateur, les divers placements et les royautés des autobiographies. Deux millions de dollars comme avance de fonds ont été offerts à Barack Obama pour les futurs bouquins. Le couple s’est acheté un château de 1.6 millions de dollars à Kenwood se trouvant sur la rue historique du Hyde Park.. Madame Obama a siégé en tant que membre salarié du conseil d’administration pour TreeHouse Foods, Inc., un fournisseur majeur de Wal-Mart avec lequel elle a coupé les liens immédiatement après que son époux ait critiqué Wal-Mart à un forum AFL-CIO de Trenton (New Jersey) le 14 mai 2007. Elle a siégé aussi sur le conseil d’administration du Chicago Council on Global Affairs.
Cursus de madame Obama en bref:
Née le 17 janvier 1964
Résidence: Chicago, Illinois
Nationalité: américaine
Religion: christianisme
Parents : Frasier Robinson (décédé en 1990) et Marian Robinson
Sœur cadette de Craig Robinson (né en 1961), entraîneur de l’équipe universitaire de l’Oregon. Épouse depuis 1992 du sénateur de l’Illinois Barack Obama, candidat démocrate à la présidence américaine de 2008. Mère de Malia et Sasha Obama
Éducation: A.B. en sociologie en 1985
Alma mater: Université de Princeton et Harvard (école de droit) (graduation en 1988, J.D.)
Occupation: avocate et ex-vice-présidente pour les affaires externes et communautaires du University of Chicago Hospitals en 2005
Les fonctions de la Première dame des Etats-Unis :
- Le rôle est illimité et a un caractère institutionnel
- La Première dame a l’oreille du président de la République
- Elle est l’hôte de la Maison-Blanche où elle est en charge des événements à caractère social et cérémonial de la résidence présidentielle
- Elle peut exercer une influence sur les décisions politiques du président des Etats-Unis- La Première dame peut être amenée à assurer la gestion de la présidence durant l’absence momentanée du chef d’État (ce fut le cas par exemple de la Première dame Edith Wilson considérée jusqu’à ce jour comme la plus puissante Première dame des Etats-Unis où elle contrôlait les affaires gouvernementales du pays lors de l’absence de son mari)
- La Première dame est en mesure de prêter son influence au service de nombreuses causes importantes (dans le secteur de l’environnement, de la santé, de l’éducation, du travail, etc)
- Mettre en lumière des problèmes liés aux droits de l’homme. En tant que juriste, madame Obama est en mesure de donner un apport considérable en la matière
- Assister à des cérémonies officilles et/ou effectuer des visites officielles en présence du Président ou sans ce dernier par intérim
- La Première dame travaille avec une équipe (mise à sa disposition) composée du secrétaire social de la Maison-Blanche, un chef d’équipe, un secrétaire de presse, un chef-designer floral, un chef exécutif et ainsi de suite
Parutions de madame Obama dans les grands magazines :
Glamour, septembre 2007
Vanity fair, 29 juillet 2008
Ebony, Septembre 2008, p. 72-84
Essence, Septembre 2008, p. 150-156, p. 214
US Weekly, 19 juin 2008
People, 23 septembre 2008
Amina, juillet 2008, p. 24-25
Radar, septembre 2008, p. 56-65
Ladies Home Journal, septembre 2008, p. 120-131
Sources:Rosalindp Rossi (2007-01-20). "The woman behind Obama", Chicago Sun-Times.
William Finnegan (2004-05-31). "The Candidate: How the Son of a Kenyan Economist Became an Illinois Everyman". Bennetts, Lisa (2007-12-27). "First Lady in Waiting". Vanity Fair. Cassandra West, Her Plan Went Awry, but Michelle Obama Doesn't Mind, Chicago Tribune, September 1, 2004 Klein, Sarah A. (2008-05-05). "Focus: Women to Watch: Michelle Obama", ChicagoBusiness, Crain Communications, Inc., p. 29. Ressner, Jeffrey (2008-02-22). "Michelle Obama thesis was on racial divide". Politico. Capitol News Company LLC. "Robinson named new coach at Oregon State". SportingNews.com (2008-04-07). Sarah Brown, Obama '85 Masters Balancing Act, Daily Princetonian, December 7, 2005 Kornblut, Anne E. (2007-05-11). "Michelle Obama's Career Timeout". Washington Post. The Washington Post Company. Fornek, Scott (October 3, 2007). "Michelle Obama: 'He Swept Me Off My Feet'", Chicago Sun-Times. Ground Support[1], Newsweek, January 29, 2007 Robin Roberts (2007-05-22). "Michelle Obama: 'I've Got a Loud Mouth'". ABCNews Internet Ventures. Langley, Monica (2008-02-11). "Michelle Obama Solidifies Her Role". Wall Street Journal. Dow Jones & Company, Inc.Diane Salvatore, (septembre 2008), « The presidential race part I : The Obamas », Ladies Home Journal p. 120-131Marie Lesure, (juillet 2008), « Future » Première Dame des Etats-Unis, Michelle Obama : « Maintenant ou jamais », Amina, p. 24-25Gwen Ifill, (septembre 2008), « The Obamas : Portrait of an American family », Essence, p. 150-156 et p. 214Sandra Rose,(septembre 2008), Ebony, p. 72-84 Sites internet : http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/7470764.stmwww.npr.org/templates/story/story.php?storyId=11831859http://www.wikipedia.com/http://www.liberation.fr/
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