« Que fait la police ? » se demandait Dominique Strauss-Kahn, avec un humour glacial, face à l'explosion de la bulle de l'illusionniste Madoff ... La police a failli. Parce que la gendarmerie américaine de la Bourse a été complètement pervertie, sinon plus, par le système de la spéculation érigée en vertu. Un aveu : « La Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme de la Bourse américaine, a manqué à ses obligations dans l'affaire Madoff » a reconnu son Président Christopher Cox. qui n'envisage évidemment pas de démissionner: ni coupable, ni responsable, le Président! Le « chien de garde » ou le « toutou » ("watchdog or lapdog") de Wallstreet n'a été qu'un chien de compagnie. Qui lèche les chaussures vernies des champions de la magouille de l'économie-casino! De Madoff, qui relève du pénal. Mais aussi sans doute de bien d'autres acteurs pour l'heure à l'abri de toute poursuite de cette « crise » financière et « bancaire » qui est d'abord un « crime économique contre l'Humanité »
Le scandale Madoff: La faillite des gendarmes du Système
Publié le 17 décembre 2008 par Danielriot - Www.relatio-Europe.com« Que fait la police ? » se demandait Dominique Strauss-Kahn, avec un humour glacial, face à l'explosion de la bulle de l'illusionniste Madoff ... La police a failli. Parce que la gendarmerie américaine de la Bourse a été complètement pervertie, sinon plus, par le système de la spéculation érigée en vertu. Un aveu : « La Securities and Exchange Commission (SEC), le gendarme de la Bourse américaine, a manqué à ses obligations dans l'affaire Madoff » a reconnu son Président Christopher Cox. qui n'envisage évidemment pas de démissionner: ni coupable, ni responsable, le Président! Le « chien de garde » ou le « toutou » ("watchdog or lapdog") de Wallstreet n'a été qu'un chien de compagnie. Qui lèche les chaussures vernies des champions de la magouille de l'économie-casino! De Madoff, qui relève du pénal. Mais aussi sans doute de bien d'autres acteurs pour l'heure à l'abri de toute poursuite de cette « crise » financière et « bancaire » qui est d'abord un « crime économique contre l'Humanité »