L'Express nous en apprend de bonnes : Selon lui, notre ministre de l'écologie prendrait l'avion pour se rendre au Parlement européen.
Pas n'importe quel avion, celui du gouvernement tant qu'à faire.
Pourtant vu le prix que ça coûte ( on se souviendra aisément de Christian Estrosi prenant l'avion pour New York pour la bagatelle de ... 130.000 euros )...
Bon ce n'est pas tant l'argent qui est en ligne de mire sur ce coup-ci, mais plutôt la question environnementale et son paradoxe Jean-Louis Borloo.
Alors que celui-ci déclarait au Monde au Grenelle 2007, 2 points, ouvrez les guillements ...
"la route et l'avion deviennent des solutions de dernier recours".
Ne serait-il pas préférable de les fermer ces guillemets ou prendre le train ?
P.S
Ce Borloo n'en est pas à un paradoxe près. C'est normal, quand on pour ami intime Bernard Tapie.
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