Nos Valeurs Communes n°6 : le travail

Publié le 27 décembre 2008 par Bravepatrie
Nicolas Sarkozy n'est pas avare de formules pleines de bon sens. Son projet - et le nôtre - d'une société qui ne s'embarrasse pas des idéologies, surtout du socialisme, s'accorde bien avec la simplicité du verbe. On retiendra, par exemple, le très célèbre « casse-toi pauv' con », qui résume avec limpidité la politique gouvernementale en matière d'immigration.
Mais non moins célèbres sont « le travail est une valeur de libération » et « travailler plus pour gagner plus », les deux sourates au fondement même de l'idée de progrès. Les allogènes ayant un peu de mal avec le concept de travail, il est bon de leur inculquer le sens profond de ces justes préceptes qui sont au nombre de Nos Valeurs Communes - Christine Boutin elle-même ne se prive pas de le rappeler - puisqu'il paraît que certains sont maintenant Français.

Le travail est une valeur de libération

Historiquement, la citation tire ses origines dans l'humour allemand de la première moitié du XX° siècle, mais Nicolas Sarkozy prend ça au premier degré. Et il a foutrement raison. Qu'est-ce que la liberté, sinon la consommation ? Et qu'est ce que la consommation sans le pouvoir d'achat ? Absolument rien.

Éduquez vos enfants au travail, vous en ferez des hommes libres

Et à plus forte raison pour l'enfant de la diversité. Sans les fruits de son travail, sans argent, il ne peut survivre dans un milieu qui lui est naturellement hostile. Ce fait sociologique a été maintes fois constaté en élevage : les jeunes, faute de travail, se regroupent pour vendre du shit.

La possibilité d'exercer un emploi permettra à l'immigré, s'il se montre particulièrement méritant, de supplier un bail et d'avoir un toit sur la tête, fût-il peuplé de quelques cafards. Puis, il pourra réaliser ses premiers achats : investir dans un mouton, une baignoire ou un tapis de prière, et pratiquer l'un des cultes autorisés par le gouvernement (dans le respect, toutefois, du principe de laïcité qui interdit qu'on soit musulman en public).

Enfin, il pourra se targuer, devant ses amis, de ne pas être un chômeur, ce qui dans nos sociétés développées est sévèrement réprouvé par la morale publique.

Travailler plus pour gagner plus

Ça parait tout con, mais personne n'y avait jamais pensé avant Nicolas Sarkozy. Certains patrons invoquent parfois « l'insuffisance de la demande » ou « des commandes en repli », autant de formulations auxquelles le Français d'en-bas, s'agissant d'économie, ne comprend strictement rien et c'est très bien comme ça. L'important c'est d'y croire, comme le Président de la République.

Ne prenez pas un travail qui ne vous appartient pas : faites le bon choix

Il faut ajouter par ailleurs que les enfants de la diversité ont de la chance : ils ne sont pas déclarés. Ainsi, ils ne représentent pas une charge trop encombrante pour l'employeur qui peut les congédier à loisir sans respecter la procédure de licenciement. Ils se situent par là même à l'avant-garde de la modernité du marché de l'emploi, ce à quoi tout Français aurait du aspirer si mai 68 n'avait pas perverti les vraies valeurs. Mais ça c'est de la politique intérieure qui ne concerne pas l'allogène, destiné par nature à retourner vers l'extérieur.

En attendant, il lui est fortement suggéré de prendre un emploi dans le bâtiment, puisque pour d'autres raisons de politique intérieure, les Français de souche n'en veulent pas.

Bref, voilà deux slogans simples comme « y'a bon banania », qui se retiennent facilement, et qu'on peut négligemment placer dans une conversation, au détour d'un couscous, pour paraître plus intelligent qu'on ne l'est réellement. Ces deux principes de vie doivent être clairement acquis par l'enfant de la diversité : il aura ainsi une chance (une seule) de s'intégrer dans une communauté qui de toute façon ne veut pas de lui (sauf éventuellement s'il devient président des Etats-Unis).