Daniel Craig

Publié le 28 décembre 2008 par Pinklady

C’est qui ?


Daniel Craig est né le 2 mars 1968 à Chester en Angleterre. Après le lycée, Daniel part à Londres pour intégrer le National Youth Theatre et prend également des cours à la Guildhall School of Music and Drama, motivé le gars. En 92, il décroche son premier rôle au cinéma dans La Puissance de l’ange de John G. Avildsen. Daniel joue au cinéma mais aussi à la télé et au théâtre. En 96, il obtient le premier rôle dans une mini série Our Friends in the North.


Cumulant les seconds rôles dans des films indépendants, il reçoit en 98 le British Performing Award au festival d’Edimbourg pour son rôle dans Love is the devil puis en 2000, il décroche le British Independant film award du meilleur acteur pour Some Voices de Simon Cellan Jones. En 2001, il traverse l’Atlantique pour jouer dans Lara Croft aux côtés d’Angelina Jolie. Après divers seconds rôles, il est engagé pour Munich de Stevent Spielberg. En 2006, il est choisi pour incarner le sixième James Bond et joue dans Casino Royale et Quantum of Solace. En 2007, Daniel a déclaré vouloir jouer dans Star Trek. Original.
Pourquoi lui ?


Bonne question et pendant longtemps, je n’ai pas compris. Je ne trouvais pas ce nouveau James Bond attirant, pas du tout. Oh certes, il avait des pectoraux à se damner et tout ce qui va avec mais les pecs, je m’en fiche : une fois habillé, on ne les voit plus vraiment. Puis, un jour, j’ai vu Daniel en mouvement et pas juste en photo et là, j’ai été transpercée par son charme inné, ce petit truc qui rend un homme somme toute banal en bombe atomique et qui vous fait chavirer. Daniel n’est pas beau, c’est pire : il a du charme. Et là, impossible de résister. Si en plus, il sauve régulièrement la planète avec un flegme britannique typique, moi, je craque.
Pour une nuit ou pour la vie ?


Ca dépend de quel point de vue on se place. Si on est croc du côté James Bond, si on a déjà droit à une nuit, c’est pas si mal. Ca veut sans doute dire qu’on a failli mourir quelques heures avant et que James se sent obligé de nous ausculter avec son thermomètre perso pour être sûr qu’on va bien. C’est moyen, je ne suis pas très fan du concept de frôlage de mort. Par contre, avec Daniel, là, on sent la valeur sûre, le mec solide (et pas que du torse), sérieux, pas vraiment conscient de sa bogossitude. Donc il est possible qu’on le garde une vie. Mais attention, les viles tentatrices rôdent et si Daniel n’est pas homme à fricoter ailleurs, elles, elles ne vont pas le laisser passer. Et dans ce cas là, on a tout à fait le droit de sortir notre arme secrète : nos ongles french manucurés qui griffent et tirent les cheveux en quelques secondes.

PS sans rapport avec la choucroute : I want some boules !