V

Publié le 30 septembre 2008 par Kullab
Poème ridicule Quand tu t’offres à moi, Poème ridicule, Imbu comme les rois De tes vers majuscules, Jusqu’à l’écœurement Avivant les nuances, Des couleurs, composant Les plus mièvres alliances, Je sens se fondre en moi Un désespoir atroce Et le masque sournois D’une rage féroce ; De ta chair gangrénée Je dégage l’immonde Et de tes os broyés La moelle profonde Et parfois, des étrons De ton