Iv

Publié le 30 septembre 2008 par Kullab
Ciels d’été Libre à toi, mon amour, de dévoiler tes charmes Et d’étendre à loisir ton corps ensorcelé ; Ivre de ces combats, dont tu détiens les armes, Livrés avec l’ardeur des amants condamnés Au châtiment brûlant de tes nuits exaltées. Ah ! Le goût parfumé de tes lèvres exquises M’évoque la douceur des terres ensoleillées Où se joue l’avenir de nos âmes conquises, Unies comme les mers sous