Les formidables aventures du Khan.

Publié le 03 janvier 2009 par Herbertlegrandkhan

Des forêts de Laponie aux berges du lac Balaton, en passant par les landes bretonnes, il n’est pas une contrée d’Europe que le Khan n’ai foulé du pied comme un conquérant blasé. Il mangea du paprika au petit-déjeuner, des nouilles à la chantilly, du hareng aromatisé au jus de framboise et du fromage danois qui fait “scouic-scouic”. Pourtant, il existe des territoires hors du temps où le grand Khan peut être déstabilisé, par exemple la Touraine…

Vous allez vous demander, qu’est ce qui peut pousser un explorateur, intrépide, certes, mais prudent et censé à se rendre dans des pays aussi reculés… Et bien, il se trouve que le Khan possède des ancêtres en Touraine à l’instar de l’Éthiopie et de l’Afrique de l’est où sont nés les Homo erectus.

Le grand Khan alla donc sonner chez son oncle (celui des batailles de pistache et des chansons rigolotes). Avant même les salutations, son oncle avait lâché le chien. La bête se jeta sur le grand Khan, la gueule béante, hérissée de crocs coupants comme des lames de rasoir.

Le temps que le Khan se débarrasse du chien à grands coups de pieds dans le museau, son oncle avait lâché les lézards de combat !!! Le plus féroce des deux s’attaquait à la trachée artère tandis que son comparse attaquait le tendons d’Achille.

Par bonheur, l’oncle bizarre rappela à temps les lézards et salua comme il se doit son prestigieux neveu. Le grand Khan eut à peine le temps de panser ses plaies avant la grande cérémonie du réveillon. Il était méfiant avant d’aller chez sa cousine. Et il avait raison…

Le repas fut une vraie catastrophe… Le lapin n’était pas assez cuit. Pire encore, le Khan passé une partie de la soirée à lui courir après. Légitimement harassé, il alla se délasser sur sa couche en attendant le cou de girafe farci… Hélas, après les attaques de chien et de lézards, il fut attaquer par ses petits cousins…

Le Khan dut user de sa force herculéenne pour maîtriser les deux sauvageons. Heureusement, il pu sceller les deux petits cousins dans la cage du lapin désormais vacante…

Fin.