Car fan de jeux TV ou pas, on finit par être totalement aspiré par une intrigue rondement menée. Gagnera, gagnera pas ? Une interrogation aussi binaire que rondement menée par un Boyle qu'on n'a jamais senti aussi proche de ses personnages. Exit le cynisme et le second degré : comme dans une production Bollywood, la pureté et la candeur triomphent ici, même si la noirceur du parcours du héros est montrée sans pudeur. Le réalisateur britannique a en tout cas réussi son escapade indienne, et confirme son statut de brillant touche-à-tout.
8/10
(également publié sur Écran Large)