Facebook et autres "réseaux sociaux"...

Publié le 19 janvier 2009 par Mari6s @mari6s

Pendant les vacances de Noël, je me suis découvert un "presque intérêt" pour Facebook, réseau social auquel je m'étais inscrite je ne sais plus trop quand sur l'invitation de je ne sais plus trop qui, sans réel enthousiasme.

Et puis je m'y suis remise, et maintenant que plusieurs de mes vrais amis et quelques connaissances sont eux aussi inscrits, je trouve en fait ça assez chouette. On garde le contact, d'une certaine façon.

Le grand défaut de ces réseaux selon moi, c'est d'appeler "ami" ce qui n'est la plupart du temps qu'un "contact". Selon Facebook, j'ai actuellement 50 amis. Dans la vraie vie, je n'en compte que 5... Heureusement ;p !

Et puis, quand quelqu'un m'ajoute à sa liste d'amis, il faudrait vraiment que je le haïsse pour lui faire l'affront de le refuser... Même si c'est pour, ensuite, ne jamais se parler, réellement ou virtuellement.

Mais je joue quand même le jeu, à ma façon. Après tout, c'est assez drôle, tant qu'on fait attention aux informations divulguées... Chat échaudé craint l'eau froide, je fais maintenant très attention à qui peut avoir connaissance de l'existence de ce blog (même si j'y suis assez prudente sur ce que je dis sur des gens qui pourraient se reconnaître...) [note aux non-avertis: mon précédent blog avait été objet de courroux par je ne dirai pas qui et j'avais dû écrire une lettre d'excuse... ce qui ne sauve que les apparences mais c'est ce qui compte n'est-ce pas? ;( ]

Et puis je m'en sers un peu de plateforme de réhabilitation de mon vrai moi (ouh là les phrases que je fais aujourd'hui ;p) En clair, ça me permet de signaler "softement" à des connaissances qu'il y a une vraie personne derrière l'image de moi qu'ils se sont construite... Que je ne suis pas toujours celle qu'ils croient...

Eh oui, Marianne se veut marginale, mais crée quand même un blog et un compte Facebook, symbolissimes de la normalité djeun... Pour mieux les détourner =J

texte de MOI, écrit le 2-01-09 - image de Fotolia