Le fait est que avoir un cheval implique immanquablement de trouver rapidement un vétérinaire, et un maréchal, et dans un délais raisonnable un ostéo et un dentiste.
Pour le dentiste c’est tout simple: il y en a tellement peu que même en faisant marcher à fond le bouche à oreille ou internet, on peine à en trouver. Mais au cours de la recherche que d’histoire à faire frémir on pourra entendre!
Pour tous les autres et en tant que propriétaire, il nous faudra faire face à la réputation de ces professionnels. Soit en faire fi, soit se détourner du dit professionnel pour aller voir ailleurs. Quelle que soit la personne sur laquelle vous chercher à vous renseigner -ce qui est la moindre des choses vu que vous vous apprêtez à lui confier votre cheval (tout ou en partie: les pieds, le dos….)-, vous ne manquerez pas de vous rendre compte du nombre de casseroles qu’il traine. Untel aura bousiller avec une ferrure inadéquate un cheval de 8 ans le rendant juste bon à jouer les tondeuses à gazon, un autre aura mal manipulé un jeune et l’aura rendu raide, un vétérinaire sera passé à coté d’une pathologie simple et aura condamné tel autre cheval, et que dire de machin -juste bon a soigner les chats et les chiens- et là c’est l’insulte suprême!
Comment faire confiance à untel si le contact passe bien, que jusque là votre cheval a été bien soigné mais que vous apprenez les pires horreurs sur son compte? Au final trouver un véto ou un maréchal dont les gens n’auraient que du bien à dire ne m’est jamais arrivé. Ils ont tous leurs détracteurs avec une seule variante: leur proportion.
Choisir un professionnel équin devient source d’angoisse……
Photo marketingrama