La bande à Basile

Publié le 25 janvier 2009 par Irene
Hier, je suis allée à une soirée festive. Ce qui devrait être un pléonasme. Mal m'en a pris. Pourtant, je m'en faisais une joie. J'étais sur mon 31 (bien que rentrée de Troyes, pour ceux qui suivent…). Dès les premières minutes, je me suis ennuyée ferme. Il m'aura fallu à peine trois heures pour déprimer de bon coeur. J'avais oublié combien une soirée, festive donc, peut être mortifère quand on erre en célibataire. Ah, tous ces célibataires qui toisent leurs célibats, qui guettent jalousement (ou perfidement) le moindre couple en gestation !
En jouant au blind test musical, j'ai gagné une gomme, 1 Lion et 2 Petit Pimousse (merci les B 52's). A l'heure tant redoutée du quart d'heure américain, j'ai jeté mon dévolu sur les incontournables Tagada (après tout, j'étais redevenue enfant). Pour faire couler le tout (j'avais oublié combien c'est sucré, une Tagada), j'ai repris un peu de rosé d'Anjou, faute de broyer du X Noir. J'aime bien les tubes des années 80 (et ça n'est pas Faustine qui dira le contraire), mais pas jusqu'au petit matin. Allez, vous reprendrez bien un peu de saint-marcellin ?