De retour de la Mecque: M. Tine engrosse sa domestique de 17 ans

Publié le 29 janvier 2009 par Black2004

Depuis que l'incroyable nouvelle s'est propagée, la famille Tine est le principal sujet de toutes les conversations dans la baol. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, l'histoire a bel et bien eu lieu ŕ Mbacké. Quelques semaines aprčs son retour des lieux saints de Islam, M.Tine est accusé d'avoir engrossé sa bonne Nd.F âgée seulement de 17 hivernages. Mais face au refus catégorique de notre bonhomme de reconnaître les faits qui lui sont reprochés, la famille de la « victime » a décidé de porter l'affaire devant la justice.

.Tine est un agent de l'administration sénégalaise pourtant réputée réservé, époux exemplaire, et pčre de famille modčle pour ne pas dire irréprochable. Pourtant quelques semaines aprčs avoir accompli l'un des cinq piliers fondamentaux pour tout bon musulman ŕ savoir le pčlerinage aux lieux saints de l'Islam, le sčrere bon teint et originaire des rives du sine, est accusé d'avoir engrossé Nd.F sa jeune domestique de 17 ans. Engagée depuis novembre 2004, celle qui deviendra sa maîtresse S.M née Mme Tine, Nd.F s'est, au fil du temps habituée ŕ cette petite famille dans laquelle elle passait le plus clair de son temps et ne rentrait qu'une fois par quinze jours chez ses vrais parents ŕ Khour-Mbacké, localité située ŕ une dizaine de kilomčtres de Diourbel. Cela dit, c'est le samedi 10 janvier dernier que les choses commencčrent sérieusement ŕ se gâter pour le sieur M.Tine lorsque la jeune fillette commença ŕ montrer ses premiers signes de grossesse. Ce qui fut immédiatement remarqué par Mme Tine, la maîtresse de maison. Aprčs moult questions Nd.F qui se refusait toujours ŕ dévoiler l'identité du pčre de son enfant fut renvoyée chez ses parents. Et c'est lŕ-bas qu'elle affirmera, avec certitude ŕ son pčre que l'auteur de sa grossesse n'est autre que M.Tine, qui, selon elle, avait la fâcheuse habitude de s'introduire nuitamment dans sa chambrette pour accomplir son passe-temps favori. Mais face au refus catégorique de notre « respectable El Hadj », les parents de la gamine n'eurent d'autres choix que de porter l'affaire devant les tribunaux.