Concours Jeunes Traducteurs de la commission européenne

Publié le 19 février 2009 par Tradonline

Ouverte aux lycées de toute l’union européenne, cette épreuve de traduction a été remportée, en France, par Fabian Schmidt, élève en terminale littéraire du lycée Bartholdi de Colmar.


« Ce concours était une bonne occasion de montrer que je manie parfaitement le français et l’allemand. » Fabian Schmidt, élève en terminale littéraire dans la section abibac (*) se dit très fier d’être le finaliste français du concours des jeunes traducteurs, organisé dans l’ensemble des pays membres de l’union européenne (lire encadré). Face à lui, 191 lycéens français ont concouru, dont 28 alsaciens.   Un choix stratégique  L’épreuve s’est déroulée le 27 novembre dernier et a consisté à traduire

(Source : DNA.fr)

Un seul mot : TOUTES NOS FELICITATIONS ! une vocation est née !

Aussi repris sur ce site, un appel à la vocation des nouveaux traducteurs, qui manquent en ce moment à la commission européenne pour répondre à temps à tous les besoins.


“Le concours Juvenes translatores, dont la première édition s’est déroulée en 2007, a été créé pour promouvoir le métier de traducteur, qui consiste à traduire un texte par écrit -contrairement aux interprètes qui travail par oral- d’une langue étrangère vers la langue maternelle. « La commission européenne manque cruellement de traducteurs, notamment pour les douze pays devenus membres en 2004 et 2007 », indique Aleksandra Kowalska, représentante de la commission européenne au sein de l’antenne française pour le multilinguisme.
Au total, la direction générale de la traduction de la commission eurpéeenne ne dispose que de 50 à 80 traducteurs dans chacun des 23 départements linguistiques (un pour chaque langue officielle de l’union européenne). Ce qui est « grandement insuffisant au vu de la masse de documents officiels à traduire (textes législatifs, correspondance, discours…), qui s’est considérablement alourdie lors des élargissements de l’union européenne (UE). Cette carence provoque des délais de traduction bien trop longs, sans compter la charge de travail supplémentaire pour les personnes déjà en poste », précise Aleksandra Kowalska, qui espère que ce concours incitera la jeune génération à s’intéresser au métier de traducteur interne au sein de la commission européenne. Un poste accessible aux personnes titulaires d’un diplôme universitaire, ressortissantes de l’UE et ayant obtenu un concours spécifique.”