La question méritait d’être posée. La marche du monde est de plus en plus confiée à des acteurs “non étatiques”. Les ONG par définition sont de ces acteurs-là. Leur influence sur les Etats peut-être déterminante. L’un des meilleurs exemples demeure le traité d’Ottawa en 1997 sur l’interdiction des mines anti-personnel ; traité qui fut porté par la société civile organisée à l’époque en pléthore d’associations.
Cet ouvrage édité par l’IRIS et Dalloz dans collection “Enjeux stratégiques” propose une réflexion sur le rôle, la place, l’influence et les responsabilités que peuvent avoir aujourd’hui les acteurs non étatiques dans la gestion des affaires de notre planète.
On peut se le procurer ici.
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