Chanson nostalgique du dimanche

Publié le 21 février 2009 par Jfa

Un poème du quasi-obscur Antoine Pol qui se mit à la poésie surtout à sa retraite de Président du Syndicat central des importateurs de charbon de France, dont vous trouverez l’ensemble des paroles sur le lien de l’auteur. Poème mis en chanson par Georges Brassens en 1972 (qui en occulta deux couplets). Cela reste une des plus belles chansons que je connaisse et qui éveille quelque chose, je crois, en chacun d’entre nous.

La version que je vous propose est extraite d’un “Grand Echiquier” de Jacques Chancel des années 70 où, à la demande de Lino Ventura, Brassens chante “Les passantes” avec Maxime Le Forestier.

Francis Cabrel l’a reprise.  Il en existe une version italienne (Fabrizio De Andre), une version anglaise (Jehro). Il y a aussi une version de Maxime Le Forestier que je n’ai pas trouvée en clip vidéo.

“Chères images aperçues, Espérances d’un jour déçues, Vous serez dans l’oubli demain, Pour peu que le bonheur survienne, Il est rare qu’on se souvienne, Des épisodes du chemin”. (…)

“Alors aux soirs de lassitude, Tout en peuplant sa solitude, Des fantômes du souvenir, On pleure les lèvres absentes, De toutes ces belles passantes, Que l’on n’a pas su retenir”.

Bon dimanche.

- En période de crise dure et durable, ce n’est pas l’austérité pour le couple présidentiel. Rue 89.

- Une politique pour riches, où à qui profite l’endettement. Eco 89.

- Le spectacle sarkozien ou les “bains de foule” pré-fabriqués. Le Post.