Stéphane Guillon fait craquer Dominique Strauss-Kahn

Publié le 22 février 2009 par Flash-News

Tout le monde le sait, Stéphane Guillon a fait craquer le patron du Fond Monétaire International, Dominique Strauss-Kahn.





Sur France Inter DSK a laisser parler sa rage au micro :

J’ai assez peu apprécié les commentaires de votre humoriste. Les responsables politiques ou d’actions publiques comme moi ont le droit, ou même le devoir, d’être critiqués par les humoristes. Mais l’humour, c’est pas drôle quand c’est principalement de la méchanceté…
C'est surprenant qu'un homme de cette culture ai eu cette réaction épidermique, mais au moins il a laissé parler son ressentit sans langue de bois.

Ils ne se sont pas vu, car comme après chaque chronique de 7h55, il quitte le studio sans attendre l’invité politique de Nicolas Demorand.

A ce sujet, il déclare :

Je ne veux pas les croiser et créer un quelconque lien avec eux. Sinon, c’est le début la fin.

Pour cette venue du président du FMI, il met en alerte (avec sirène à l’appui) la gent féminine de France Inter de son arrivée.

Frédéric Schlesinger, directeur de France Inter, est allé lui présenter ses excuses.

Il avait l’air perturbé. Quand un monsieur que je respecte s’estime blessé, il est de mon rôle de directeur de lui présenter des excuses.

Il demande aussi à Guillon de ménager Martine Aubry, invitée le lendemain.

La première secrétaire avait, paraît-il, très mal pris le fait d’avoir été comparée dans une précédente chronique à un « petit pot à tabac », chose bien entendu qu’il a annoncé dès le début de sa chronique du lendemain.
Pourquoi accepteraient certains d'être écornés par Guy Bedos, et dire Il a beaucoup de talent, est-ce parce qu'il est devenu intouchable, et pour Stéphane Guillon lui aussi incisif, réagir négativement ?
L'humour peut parfois être blessant, mais, dès que l'on est un personnage publique, il faut savoir à quoi on s'expose.
Stéphane Guillon, qui décidemment, ne désarme jamais, a de nouveau titillé DSK dans l'émission Salut les Terriens de Thierry Ardisson, avec un panneau danger et un homme penché sur le dos d'une femme ... dans une position non équivoque ... c'est le moins que l'on puisse dire ...
Alors, ironie ou provoc ?