Le premier cas de Kndle 2 cassé : liseuses 0 - livres papier 1

Publié le 25 février 2009 par Actualitté
Ah, c'est certain, jamais on ne pourra casser l'écran d'un livre, pas plus que ce dernier ne se détériorera... De même, on pourra le lancer sauvagement contre un mur ou autre, sans qu'il n'en pâtisse réellement.
L'exemple de Rob Bushway nous fera retenir cette première chose. La seconde est qu'une garantie anti-bris d'écran n'est pas toujours inutile. Car à la réception de son Kindle 2, il ne s'est pas encore écoulé 5 minutes depuis qu'il l'a dans les mains que l'homme l'a laissé tomber (chose que l'on ne peut pas avouer aux assurances, bien sûr...) et le résultat est net : une tâche persistante dans le coin du lecteur.

Parlera-t-on de 'etâche' pour le résultat et le fautif ? Reste que plusieurs dispositions dans le contrat d'assurance ont permis a Rob de pouvoir échanger son modèle. Dans le cas du Kindle, l'extension de garantie coût 70 $... que Rob avait payés.