Le porte-parole a aussi précisé : « Il y a peut-être une faute du ministère qui n'a pas voulu reculer l'heure de début de l'épreuve alors que nous téléphonions tous pour l'alerter sur la panne et qu'il y a un précédent car le ministère avait reculé l'heure du début des épreuves en 2002 pour un Capes de géographie ».
De son côté le ministère de l'Éducation argue qu'« après expertise de la Direction des Affaires juridiques, les candidats étaient convoqués à 08h15, ils sont arrivés après 9h » rappelant que « le principe d'égalité des candidats à un concours de la fonction publique impose que l'ensemble des concurrents compose sur les mêmes sujets et dans les mêmes conditions d'organisation et de prise en compte des épreuves ».
Les retardataires regroupés autour de Laurent Zimmermann bénéficient du soutien de la Société des agrégés de l'Université. Ils envisagent encore un arrangement à l'amiable : « On est persuadé qu'il y a une solution, c'est de réorganiser l'épreuve du 2 avril, et le coût de cette opération pourrait être supporté par la SNCF ».