Ainsi l'Aeres, n'a pas reçu assez de projets pour faire une évaluation. Elle déclare : « seuls 9 universités, 2 Écoles Normales Supérieures et 8 établissements privés ont déposé des dossiers ». De plus, « sur 35 académies, seules 3 (Reims, Polynésie et Nouvelle Calédonie) ont une proposition complète ». Affirmant que les dossiers reçus trop peu nombreux « ne permettent à l'agence, ni une analyse par académie, ni une analyse nationale comparative par discipline ».
La Coordination nationale des universités a profité de l'occasion pour demander une nouvelle fois le retrait de la réforme, insistant sur le fait qu'il s'agissait d'une « des conditions, non négociables, à la reprise des cours ». Pour Qualité de la science française, le projet de réforme « n'améliorera pas la formation, ni disciplinaire ni didactique, des futurs enseignants » et devrait même mener à une « régression ».