Imprimer plutôt que piquer

Publié le 14 septembre 2007 par Claire Romanet
A la manière des œufs pour lesquels les procédés d’impression permettent de les dater, c’est bientôt notre peau qui sera imprimée. Pour la bonne cause car, au lieu d’être vaccinés ou attaqués par des seringues, nous serons soignés par des patchs imprimés.
La méthode est simple et c’est la même que pour les imprimantes : il s’agit de chauffer non pas les encres mais des microréservoirs contenant les substances médicamenteuses, puis de les diffuser par des micro-aiguilles indolores.
HP va plus loin dans le procédé que le simple patch puisqu’il s’agit là de remplacer des injections sous-cutanées, on peut d’ailleurs injecter plusieurs produits en même temps. Une petite pensée pour quelqu’un que je connais bien et qui a horreur des piqûres… il faudra attendre 2010.