Gyp, qui affuble ses personnages de noms qui sont aussi des définitions d’essence, procédé au vieux passé biblique-grec et à la postérité populaire nombreuse (chez San Antonio, par exemple, ou John Le Carré), met donc en forme dialoguée, plaisante mais un peu insistante, aux dires de ses proches confrères[1], ce que les « siens » à la très aiguë conscience de groupe[2] disent, plus ou moins ouvertement, de ces intrus maximaux que sont les Juifs allemands riches, tenant le haut d’un pavé parisien auquel beaucoup ne peuvent plus prétendre...Lire la suite
Gyp, qui affuble ses personnages de noms qui sont aussi des définitions d’essence, procédé au vieux passé biblique-grec et à la postérité populaire nombreuse (chez San Antonio, par exemple, ou John Le Carré), met donc en forme dialoguée, plaisante mais un peu insistante, aux dires de ses proches confrères[1], ce que les « siens » à la très aiguë conscience de groupe[2] disent, plus ou moins ouvertement, de ces intrus maximaux que sont les Juifs allemands riches, tenant le haut d’un pavé parisien auquel beaucoup ne peuvent plus prétendre...Lire la suite