― Dites-moi, Theagène, vous n’aimez qu’un seul et même psychanalyste, n’est-ce pas ?
― Assurément, c’est la vérité!
― Aussi, pourquoi consultez-vous tant de femmes ?
― Mais, je leur parle, à elles !
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Ainsi débute, on s’en souvient, “Vies et déconvenues de Théagène Dugrainmou”, par le regretté Constant Rivière.
Pour celles et ceux qui auraient oublié (ou dont le roman serait tombé des mains, on peut le comprendre…) tentons de résumer rapidement (et définitivement) la suite.
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Pour la simplification du récit, certaines images ont été recadrées.
Les puristes voudront bien me pardonner quelques imprécisions, manquements ou maladresses.
Seul prime l’intérêt du rappel, et de l’oubli.