München, tome 4

Par Eric Mccomber
La Gaxuxa et sa nouvelle amie, devant la maison du chauffeur du jardinier de mon excellent pote Rüdi
Il ne fait toujours complètement beau, en mai, en Bavière
La Gaxuxa devant le chalet du cuisinier de l'écuyer de mon excellent pote Rüdi

C'est marrant, vers le milieu du siècle dernier, Munich s'est retrouvée avec pas mal d'immenses espaces libres de toutes habitations. On arrête pas le progrès. Comme disent certains, « No hay mal que por bien no venga »© Éric McComber