Poésies de CATULLE (textes anciens)

Par Elisabeth Leroy

A GELLIUS

Souvent j'ai cherché dans mon esprit par quel moyen je pourrais te faire parvenir des vers de Callimaque pour calmer ton courroux, et soustraire ma tête aux traits vengeurs dont tu ne cesses de la menacer ; mais je le vois trop, mes efforts sont inutiles, mes prières sont vaines...